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Révolution sanitaire en Moselle: Pour stopper la 2° épidémie variant anglais et la 3° épidémie variant sud-africain il faut 43 000 tests par jour (7 fois plus de tests) en Moselle et désigner 16 000 délégués de base, délégués révocables révolutionnaires en Moselle pour que #MacronDEGAGE

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 par Yanick Toutain
REVACTU
édité par Julie Amadis
12 février 2021

Tester 7 fois plus de cas contacts
c'est instantanément diviser par 7
le taux de positivité.
Et donc identifier 2 fois, 3 fois
 plus de malades qui ne pourront donc pas contaminer d'autres personnes.
Ne pas le faire c'est justement aider le variant britannique
 à se propager comme l'ont voulu Macron, Castex et Véran.
La pandémie est une ruse des capitalistes pour différer le jour de la révolution.
Tester tracer isoler c'est accélérer l'éradication du virus.
Faire la révolution c'est STOPPER LA PANDEMIE 
Relire les médias collabos 3 mois plus tard est une bonne conclusion. 
Ces pseudo-journalistes ont vu le complot et le sabotage mais ne le disent jamais 

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COVID19 Tragédie sanitaire à Mayotte: Pour avoir 27 fois plus de tests et stopper la 3° épidémie #VariantSudAfricain que ces criminels sanitaires ont organisée il faut que #MacronDEGAGE et Dominique #VoynetDEGAGE de Mayotte

Révolution sanitaire en Moselle:
Pour stopper la 2° épidémie variant anglais
et la 3° épidémie variant sud-africain
 il faut 43 000 tests par jour (7 fois plus de tests) en Moselle et désigner 16 000 délégués de base, délégués révocables révolutionnaires en Moselle pour que #MacronDEGAGE


Avec 430 nouveaux malades détectés chaque jour, la Moselle devrait bénéficier de 43 000 tests COVID19 par jour.
#Tester100proches est la précondition pour éradiquer un virus. 
Mais la Moselle, département martyr de l'Elysée depuis le 17 novembre n'a droit qu'à 6 144 tests par jour. Ce nombre est SEPT FOIS MOINS que le nombre nécessaire.
Le résultat est que ce sont seulement 14,3 cas contacts qui sont testés en Moselle. 

Olivier Véran s'est rendu sur place comme s'il était Saint-Louis venant guérir le peuple par la force de sa parole ! Alors que dans le même temps, lui et ses sbires de l'Etat bourgeois ont fait en une semaine MOINS de 50 000 tests en Moselle alors qu'il en faudrait 43 000 par jour pour faire redescendre le taux de positivité sous le PLAFOND de 1%
Quand on ne teste que 14 cas contacts autour de chaque malade dépisté, ce sont 86 autres porteurs potentiels du virus qui ne sont pas testés.
C'est cela la méthode utilisée par Macron pour aider le variant anglais qu'il a laissé entrer en France à la Gare du Nord.


POUR TESTER 100 PROCHES IL FAUT QUE MACRON DEGAGE 
EN MOSELLE COMME DANS TOUTE LA FRANCE
AUTO-ORGANISATION POLITIQUE
+ AUTO-ORGANISATION SANITAIRE

En France il faut, pour avoir une légitimité plus grande que celle de l'imposteur en 2007, réunir plus de délégateurs que ses bulletins de vote arrivés dans les poubelles de l'Histoire.
Il faut donc que 25 millions de Français se réunissent pour désigner 1 million de délégués de base.
En Moselle, il faut donc désigner former 16 000 groupes de 25 désignant 16 000 délégués de base (#1pour25) ceux-ci se groupant par 25 pour désigner ensuite 640 délégués conseillers.  La Moselle désignera ensuite 25 délégués députés révocables ayant 4 délégants parmi les délégués conseillers.
Ces 25 délégués députés se groupant par 5 désigneront  4 délégués intermédiaires nationaux et 1 délégué national.
Les 4 délégués intermédiaires nationaux désignés par la Moselle seront membres d'un cabinet statutaire désignant un des 25 "ministres" et d'un cabinet fonctionnel autour d'un "ministre", un des 25 coordinateurs nationaux. Le délégué national sera lui membre d'un cabinet statutaire restreint (de 5 personnes) et d'un autre cabinet fonctionnel - comme assistant fonctionnel d'un coordinateur national d'un bord politique autre que le sien.

AUTO-ORGANISATION SANITAIRE 

Ce modèle d'organisation figure dans le texte du 25 janvier 2020 publié au moment où nous annoncions l'arrivée mondiale de la pandémie en mars 2020

            Pour la Moselle il faut désigner 120 000 correspondants santé,  donner accréditation révolutionnaire à 30 000 délégués intermédiaires santé (aides-soignantes, infirmières, etc) et à 7500 délégués santé de base  (infirmières chefs, médecins etc..)

          

UNE ENQUETE DES 12 000 DELEGUES JUSTICE
 CONTRE LES COMPLOTEURS

Pour juger les criminels sanitaires qui ont laissé entrer le COVID19 en janvier 2020, le variant britannique en décembre 2020 et qui laissent le variant sud-africain commencer à s'étendre en Moselle il faudra multiplier le nombre de juges et d'auxiliaires. Il faudra désigner 800 000 délégués justice en France dont 12 000 en Moselle. La population, en se groupant par 25 veillera donc à désigner 8% de délégués justice, soit 2 par conseil de 25. Ce sera donc un total de 9600 délégués DIB justice qui seront les auxiliaires ayant accréditation de 4 citoyens. Les avocats devront appartenir à ce groupe, comme les greffiers etc... Des conseils de 25 donneront accréditation à 1920 délégués de base justice qui seront juges conciliateurs sans pouvoir de sanction, puis  384 délégués DIC qui prendront la place des actuels juges de tribunaux correctionnels qui devront donc avoir l'accord de 125 citoyens pour être délégués intermédiaires conseillers. Des groupes de 625 citoyens désigneront les 76 juges d’instance délégués conseillers. Pour les 15 juges de cour d’appel délégués DID, il faudra l'accord de 3125 délégateurs. 
Et les 3 délégués députés qui auront fonction de juges de cassation devront être désignés par 15625 délégateurs.

LA PRINCIPALE METHODE POUR AIDER LA PANDEMIE :
REFUSER DE TESTER 100 PROCHES

Tous les médias collabos laissent croire que la catastrophe sanitaire en Moselle arrive dans un ciel serein. Rien n'est plus faux ! Le fait que la Moselle a un taux d'incidence 291   47% plus élevé que celui de la France entière est le résultat d'une volonté politique.

Il est facile de comparer les deux taux d'incidence : celui de la France entière et celui de la Moselle. On constate qu'une sorte de malédiction trace quasiment trois segments de droite. 
Une malédiction qu'on verra être une volonté politique.

Diviser le taux d'incidence de la Moselle par le taux d'incidence France entière (et ôter 1) donne cet étrange graphique : on voit que la France entière semble avoir voulu ramener ce département martyr au niveau du pays pour tout à coup .... le 20 janvier ne plus rien tenter.... c'est bel et bien ce qui s'est produit comme on va le voir 


TAUX DE POSITIVITE : MESURE DU SABOTAGE GOUVERNEMENTAL 

Des légistes honnêtes voteront une lois rétroactive prochainement : tout responsable d'une zone ayant laissé dépasser pendant 7 jours de suite le taux de positivité au-dessus de 1% sera démis de ses responsabilités.

Si le taux de positivité dépasse 5% pendant 7 jours de suite ce seront des mois de prison
Si le taux dépasse 10% pendant une semaine, ce seront des années de prison.
Et si le taux atteint 7 jours de suite 20% ce seront 30 ans de prison.
Mais diront les naïfs.... "c'est injuste".
Ces naïfs se sont fait manipuler par les médias gouvernementaux.
En effet, ils croient - un an après le 25 janvier 2020 - que le taux de positivité mesure le niveau de la pandémie.
Mais alors, comment se fait-il que le taux de positivité de la Moselle soit constamment au dessus de celui de la France entière ?
La réponse est simple : parce que le nombre de tests pour ce département est encore plus insuffisant que celui pour la France entière.
Il suffirait demain, que Macron Castex Véran MULTIPLIE PAR 7 le nombre de tests quotidiens pour la Moselle pour que le TAUX DE POSITIVITE SOIT INSTANTANEMENT DIVISE PAR 7 


Tester 7 fois plus de cas contacts c'est instantanément diviser par 7 le taux de positivité. Et donc identifier 2 fois, 3 fois plus de malades qui ne pourront donc pas contaminer d'autres personnes.
Ne pas le faire c'est justement aider le variant britannique à se propager comme l'ont voulu Macron, Castex et Véran.
La pandémie est une ruse des capitalistes pour différer le jour de la révolution.
Tester tracer isoler c'est accélérer l'éradication du virus.
Faire la révolution c'est STOPPER LA PANDEMIE 
Relire les médias collabos 3 mois plus tard est une bonne conclusion. 
Ces pseudo-journalistes ont vu le complot et le sabotage mais ne le disent jamais 
FRANCE INTER

Lundi 16 novembre 2020

par Fabienne Sintes 


En annonçant le reconfinement, Emmanuel Macron a reconnu que la stratégie "tester, tracer, isoler" a été un échec. Faut-il profiter de ce deuxième confinement pour tester tout le monde ? Doit-on mettre en place le traçage rétrospectif ? Le dépistage massif en entreprise et dans le milieu scolaire est-il une solution ?

Tester, tracer, isoler : peut-on reprendre la main ?
Tester, tracer, isoler : peut-on reprendre la main ? © AFP / Ludovic Marin

Ça va mieux sur le front de l'épidémie. Ça ne va pas fort mais ça va mieux, les chiffres sont là pour le dire. Mais en même temps, c'est maintenant que tout commence.

Maintenir le confinement, ça c'est clair pour le gouvernement, mais l'objectif est surtout d'éviter les montagnes russes dès que nous aurons plus de liberté pour éviter une 3ème vague...

Ce qui est aussi un fait objectif, c'est que le triptyque qu'on nous a vendu à la fin du 1er confinement, "tester - tracer - isoler", s'est laissé déborder de toutes parts. Quiconque a fait la queue pendant des heures devant un labo - et nous sommes très nombreux dans ce cas - est là pour en témoigner.

Le "tracing descendant", c'est à dire la recherche des cas contacts qu'a pu rencontrer une personne positive, n'a pas empêché la propagation très rapide du virus. Alors plusieurs idées émergent : celle d'un traçage à l'envers, un "tracing ascendant", comme l'ont fait les japonais, qui ne va pas chercher qui vous avez pu contaminer mais qui vous a contaminé. Cela part du principe que 15 à 20% des infectés seraient responsables de 80% des contaminations.

Par ailleurs, nous savons le très grand nombre d'asymptomatiques. L'autre méthode - celle de Liverpool, celle des Slovaques - est de tester massivement afin d'isoler le plus vite possible les personnes positives, ce qui cassera les chaines de contaminations.

Saurons-nous faire ça ? Nous devrons savoir le faire de toutes façons, faute de quoi la 3ème vague ne sera pas une option. 

Avec nous pour en parler et pour répondre à vos questions, Philippe Amouyel, professeur de santé publique au CHU de Lille et Renaud Piarroux, épidémiologiste à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, auteur de La vague, l'épidémie vue du terrain (CNRS Editions). 

Toutes vos questions et vos témoignages au standard de Radio France - 01 45 24 70 00 -, sur l'application France Inter et par e-mail à l'adresse telsonne@radiofrance.com.

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