Soldats américains en Afrique (image de VOA) |
Par Julie Amadis
Et Yanick Toutain
Revactu
11/01/2019
Le média de la CIA, VOA, assure que Kabila obéit bien aux ordres répressifs des Etats-Unis contre l'auto-organisation de la population congolaise.
En RDC, des mesures ont été prises dans la province du Kasaï central, fief d'un des deux candidats d'opposition, Félix Tshisekedi.
"Tout attroupement de deux ou trois personnes le long des principales artères de la ville est interdit. Cette mesure reste en vigueur jusqu'à nouvel ordre", a indiqué le commissaire provincial de police.VOAL'interdiction des rassemblements de plus de 3 personnes empêchent toute réunion politique, toute discussion entre les gens sur la situation du pays, toute auto organisation populaire comme le fait que désigner des délégués révocables et de construire des CDR !
Que les Congolais mettent en place des CDR et se désignent leurs propres représentants sans election est la principale crainte des USAfric comme de la Franceàfric car ils ne pourraient alors, plus rien contrôler et ce serait la fin de l'impérialisme !
La solution pour mettre fin aux salaires esclavagistes car c'est à cela cela que servent les troupes d'occupation, elles servent à protéger une démocratie esclavagiste qui va préserver les salaires à 31 euros par mois, il faut comme sous Sankara, former des Comités de défense de la Révolution (CDR) avec des délégués révocables 1 pour 25 !
LIRE :
Trump retire ses troupes de Syrie pour laisser Erdogan massacrer les Kurdes et écraser la révolution kurde
Juste après avoir retiré ses troupes de Syrie - des soldats qui combattaient DAECH - Trump envoie des troupes en Afrique subsaharienne contre les Congolais et les Gabonais.Environ 80 militaires ont été envoyé au Gabon le 2 janvier.
"La Maison-Blanche a mobilisé « approximativement » 80 militaires au Gabon. Les premiers hommes de ce mini contingent, qui peut être appelé à s’étoffer si nécessaire, ont été envoyés au Gabon dès le 2 janvier.".libre Afrique
TRUMP TRAHIT SES ÉLECTEURS EN RETIRANT
SES TROUPES QUI COMBATTAIENT DAECH DE SYRIE
Trump trahit ses électeurs qui l'ont élu parce qu'il avait dénoncé le soutien du terrorisme d'Hillary Clinton et ses alliés en refusant de combattre les islamofascistes de Daech.Trump en retirant ses troupes de Syrie laisse les terroristes prospérer en Syrie en même temps qu'il laisse Erdogan massacrer les Kurdes !
Trump retire ses troupes de Syrie pour laisser Erdogan massacrer les Kurdes et écraser la révolution kurde
Donald Trump laisse la place libre à Erdogan pour massacrer les Kurdes de Syrie en retirant ses troupes qui combattaient Daech auprès des YPG.
Jeudi 20 décembre Donald Trump a annoncé qu'il retirait ses troupes déployées dans le nord de la Syrie pour combattre Daech.
Donald Trump a confirmé lundi sur Twitter que le retrait des troupes militaires américaines en Syrie se ferait lentement. Il a également réaffirmé son succès face au groupe État islamique (EI) dans la région. «Si quelqu'un d'autre que Donald Trump avait fait ce que j'ai fait en Syrie, qui était un bazar infesté par l'EI quand je suis devenu président, il serait un héros national. L'EI a pratiquement disparu, nous renvoyons lentement nos troupes à la maison afin qu'elles retrouvent leurs familles, tout en combattant ce qu'il reste de l'EI», a-t-il tweeté.Le FigaroDans la foulée, le président turc Erdogan un des trois créateurs de DAECH pour Hillary Clinton (avec Seoud et Al Thani) a déclaré qu'il allait massacrer les Kurdes d'YPG (ceux qui combattent Daech) en même temps que Daech.Lors d'un discours à Istanbul, Erdogan a ainsi assuré, froidement, que son pays tâcherait "d'éliminer les YPG [miliciens kurdes] et les résidus de Daech [acronyme arabe de l'EI]".ObsERDOGAN UN DES TROIS CRÉATEURS DE DAECH EST AUX COTÉS DE DAECH POUR ÉCRASER LES YPG
Tous ceux qui suivent le comportement d'Erdogan savent très bien qu'il n'a jamais eu l'intention de combattre DAECH avec qui il pactise. Tout le monde sait bien que ceux qu'il massacre ce sont les Kurdes, qui sont les seuls vrais combattants des jihadistes.(IpEaVaEaFaF)
TRUMP OBÉIT AU DEEP STATE ET POURSUIT LA POLITIQUE CONTRE RÉVOLUTIONNAIRE DE CLINTON OBAMA DE SOUTIEN AUX TERRORISTES
En retirant ses troupes de Syrie, Trump poursuit la politique initiale Obama Clinton qui a consisté à développer un front djihadiste pour tuer la révolution syrienne anti Assad !Barack Obama et Hillary Clinton ont créé DAECH le 8 avril 2013 : nom de code Timber Sycamore (Financement Arabie Saoudite)
Il obéit ainsi au Deep State et ne fait preuve d'aucun courage et d'aucun respect pour le peuple qui l'a élu !
Il avait durant sa campagne accusé Clinton d'être à l'origine de Daech.
"Hillary Clinton, par le biais de ses politiques stupides, a créée l'EI, c'est elle qui est responsable de d'apparition de l'EI", a martelé le républicain qui tente actuellement de réduire l'écart de popularité qui le sépare de la candidate démocrate à la présidentielle. Propos de Donald Trump juillet 2016 repris par Sputnik
Pourtant il n'a rien fait pour que Hillary Clinton soit poursuivie en justice pour avoir crée Daech !
Trump avait pour programme de "mettre KO" Daech
• Il veut «mettre KO» l'État islamique et se dit pour cela ouvert à une coopération avec la Russie, sans donner davantage de détails. Le Figaro (9/11/2016)Pourtant il retire ses troupes de Syrie, moins de 2 ans plus tard alors que Daech est toujours très puissant !
ISOLATIONNISME DES USA ?
La première puissance impérialiste du monde a toujours eu un vocabulaire schizophrène
L'isolationnisme est une tendance de la politique étrangère des États-Unispour une intervention minimale dans les affaires du monde. Il a longtemps été l'un des fondements de la politique étrangère des États-Unis, érigé en doctrine par le président James Monroe en 1823. Il a été historiquement défendu par les deux franges de l’échiquier politique américain, mais il a été mis à mal aux xxe et xxie siècles.
Les spécialistes ont bien compris quel était ce prétendu "isolationnisme"
Quant aux interventions militaires, on peut dire ceci : le soi-disant « isolationnisme » qui aurait constitué un thème clé de la campagne de Trump ne décrit en aucune façon la politique de son administration. La volonté d’user de la force qui a caractérisé les dernières administrations américaines perdure. Trump a promis de remporter les guerres de l’Amérique ou bien de quitter les zones où elle intervient militairement. Il va simplement les continuer. C’est évident en Afghanistan, en Irak, en Syrie, au Yémen et en Somalie. Mon estimation — et ce n’est qu’une estimation — c’est que la montée en puissance de la présence militaire américaine dans ces pays reflète la prédisposition des généraux qui occupent des positions dominantes au sein de l’administration plutôt que les préférences de Trump. (ORIENTXXI Andrew Bacevich, diplômé de l’Académie militaire de West Point et de l’université de Princeton, est un ancien colonel de l’armée américaine)Le Figaro analysait justement cette fausse ambiguité hypocrite
L'attitude de Trump est explicitée par ce qu'il vient de faire - et ce qu'il s'apprête à faire contre les Congolais.DÉCRYPTAGE - Le président américain a annoncé qu'il souhaitait que son pays retire ses forces de Syrie. Dans le même temps, son nouveau conseiller à la Sécurité nationale, John Bolton, un conservateur «va-t-en-guerre», entre en fonction ce lundi. De quoi relancer l'épineuse question de la ligne diplomatique de la Maison-Blanche.Depuis l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, la diplomatie américaine semble balancer entre deux lignes, que tout oppose, a priori. Reprenant le ton de sa campagne, le président américain a déclaré la semaine dernière qu'il souhaitait que les États-Unis retirent leurs forces de Syrie. Une décision qui pourrait traduire une volonté d'«isolationnisme», cette politique étrangère récurrente dans l'histoire américaine qui consiste à s'occuper de façon minimale des affaires du monde.» LIRE AUSSI - Une équipe de faucons à la tête de la diplomatie américaineParallèlement, pourtant, Donald Trump a condamné dimanche l'attaque chimique présumée dans la Ghouta, qu'il attribue, dans un tweet, à «l'animal Assad», et regrette que Barack Obama n'ait pas respecté la ligne rouge - ne pas laisser se dérouler d'attaques chimiques en Syrie - qu'il avait lui-même tracée dès 2012. Ce lundi, des missiles ont frappé une base aérienne syrienne. Si la piste d'Israël est davantage privilégiée que celle des États-Unis, l'attaque n'est pas sans rappeler une précédente frappe, que Donald Trump avait lui-même lancée il y a un an contre une autre base aérienne pour condamner... une attaque chimique imputée au régime. C'est par ailleurs ce lundi qu'entre en fonction le nouveau conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, connu au sein de la diplomatie américaine comme un «va-t-en-guerre» et un grand soutien de la guerre en Irak.● La tentation de l'isolationnismeLe candidat antisystème en a fait l'un de ses arguments de campagne en critiquant l'interventionnisme d'Hillary Clinton, secrétaire d'État en 2011 lors de la guerre en Libye et la chute de Mouammar Kadhafi. Avec son slogan «America First», il souhaitait ne plus jouer au «gendarme du monde», un rôle qu'il jugeait trop coûteux. «On retrouve aujourd'hui ce discours isolationniste en matière diplomatique, mais c'est également le cas en matière économique, avec le protectionnisme», estime pour Le Figaro un haut fonctionnaire du ministère des Armées, proche du dossier américain.Il y a, selon lui, deux facettes dans cette position originelle du trumpisme. D'un côté, une «vraie conviction» que les États-Unis n'ont pas «vocation à intervenir partout dans le monde» ; de l'autre, la volonté de «cocher chaque case de ses promesses de campagne». «Il y a une dimension électorale car les élections intermédiaires approchent et il faut remobiliser les troupes», assure-t-il.
TRUMP INTERVENTIONNISTE EN AFRIQUE : IL INSTALLE DES TROUPES D'OCCUPATION AU GABON VS LES CONGOLAIS
Plutôt que de s'en prendre à Daech, Trump préfère s'en prendre aux esclaves immobiliers de RDC qui gagnent 31 euros en moyenne.
Il a envoyé les premiers soldats au Gabon le 2 janvier.
Les premiers renforts sont arrivés au Gabon le 2 janvier "avec des combats d'équipements appropriés, soutenu par des forces armées aériennes".Libre AfriqueIls sont installés au Gabon pour intervenir à la fois au Congo Brazzaville et en RDC !
Les soldats américains disposent de matériel de combat et sont assistés par des moyens aériens. Ils peuvent être mobilisés au Gabon, en RDC et au Congo-Brazzaville, poursuit le texte de la Maison-Blanche qui prévient que ce déploiement restera en place tant que la situation l’exigera en RDC. La libre Afrique
Le prétexte comme à chaque fois que des forces d'occupation s'installent en Afrique, c'est de protéger les citoyens du pays envahisseurs !
"Le personnel des forces armées des Etats-Unis s'est déployé à Libreville au Gabon, afin d'être en mesure d'assurer la sécurité des citoyens, du personnel et des installations diplomatiques américaines à Kinshasa en République démocratique du Congo", a écrit le président américain dans une lettre aux présidents des deux chambres du Congrès.VOA
DES TROUPES D OCCUPATION .... POUR EMPÊCHER UNE AUTO ORGANISATION DES CONGOLAIS QUI DÉSIGNERAIENT EUX MÊME (SANS ELECTION) LEURS REPRÉSENTANTS DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES ET CONSTRUIRAIENT DES CDR SANKARA
A chaque fois que des impérialistes installent des troupes d'occupation, ils prétendent que c'est temporaire ....
"Les soldats resteront dans la région jusqu'à ce que la situation sécuritaire en République démocratique du Congo devienne telle que leur présence ne soit plus nécessaire", a-t-il précisé.Jusqu'à ce qu'ils trouvent un nouveau prétexte pour rester plus longtemps....
Selon M. Trump, des forces supplémentaires américaines pourraient se déployer au Gabon "en cas de nécessité".BBC
Le média de la CIA, VOA, assure que Kabila obéit bien aux ordres répressifs des Etats-Unis contre l'auto-organisation de la population congolaise.
En RDC, des mesures ont été prises dans la province du Kasaï central, fief d'un des deux candidats d'opposition, Félix Tshisekedi.
"Tout attroupement de deux ou trois personnes le long des principales artères de la ville est interdit. Cette mesure reste en vigueur jusqu'à nouvel ordre", a indiqué le commissaire provincial de police.VOAL'interdiction des rassemblements de plus de 3 personnes empêche toute réunion politique, toute discussion entre les gens sur la situation du pays, toute auto organisation populaire comme le fait que désigner des délégués révocables et de construire des CDR !
Que les Congolais mettent en place des CDR et se désignent leurs propres représentants sans élection est la principale crainte des USAfric comme de la Franceàfric car ils ne pourraient alors, plus rien contrôler et ce serait la fin de l'impérialisme !
La solution pour mettre fin aux salaires esclavagistes car c'est à cela cela que servent les troupes d'occupation, elles servent à protéger une démocratie esclavagiste qui va préserver les salaires à 31 euros par mois, il faut faire comme sous Sankara, faire des Comités de défense de la Révolution (CDR) avec des délégués révocables 1 pour 25 !