par Yanick Toutain
REVACTU
29/1/2015
Les criminels qui ont envahi le Mali avec leurs troupes d'occupation, les militaires qui avaient "aidé le MNLA pendant 10 ans" et qui avaient demandé au Qatar de financer Iyad Ag Ghali et les terroristes Ansar Eddine veulent maintenant assassiner le général Sanogo
C'est par un message posté sur Facebook que ceux qui refusent la justice collabo-Franceàfric, les partisans de la révolution qui renversa le coordonateur ATT de l'attaque sur Aguel Hoc ont appris les dernières menaces sont celui qui est maintenant général et est incarcéré depuis le 27 novembre 2013.
il y a 46 minutes
Et cela s'ajoute donc aux précédentes menaces et persécutions faites par ce même Djibril Sogaba.
Un pantin franceàfric qui n'a pas encore compris que la Révolution malienne de mars 2012 est sur le point de repartir. Et sur une base CDR sankariste cette fois-ci.
Le lendemain, 18 janvier, un site d’informations fait état de l’altercation entre Sanogo et Sogoba.Noire colère du capitaine Sogoba qui vient violemment interpeller Sanogo en ces termes: « Comment se fait-il que la presse publie une conversation que j’ai eue avec toi? Pour qui te prends-t-u donc ? Tu n’es qu’un prisonnier comme d’autres! ». Le ton monte entre les deux hommes. Il n’en faut guère plus pour que le capitaine Sogoba fonce sur le général détenu. Vive empoignade. Les deux gladiateurs sont séparés par des gendarmes présents. La scène s’est déroulée le samedi 24 janvier 2015 aux environs de 20 h. (lure l'article complet infra)
Ces incidents font suite aux 5 (7?) crimes commis par les terroristes de la MINUSMA à Gao mardi
Lisons Afrik.com contredisant les 3 morts annoncés par les médias esclavagistes
Au moins cinq personnes ont été tuées, ce mardi, dans une manifestation contre la force de l’ONU au Mali (MINUSMA). Les protestataires contestaient l’accord signé ce week-end entre la MINUSMA et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) prévoyant une "zone temporaire de sécurité" dans la localité de Tabankort, près de Gao.
Que tous les resistants prennent, en solidarite (et sans aucun soutien de type partisan) comme ami Facebook celui qui fut le PROTECTEUR de la Révolution Malienne de mars 2012
MARDI 25 MARS 2014
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Mali : Sanogo agressé par le commandant de légion intérimaire de Manantali
Les malheurs du général Sanogo, chef de la défunte junte militaire, se poursuivent. Après avoir échappé par deux fois à des morsures de serpent, il a été transféré de Sélingué, région de Sikasso, à Manantali, région de Kayes, donc à 300 km de la capitale, avec les conséquences psychologiques que l’on imagine.
A Manantali où il loge dans un vieux conteneur transformé en cellule carcérale, l’officier général est tombé malade le 17 janvier 2015. Il demande alors à son geôlier en chef, le commandant d’escadron par intérim de la gendarmerie, le capitaine Djibril Sogoba, de lui trouver d’urgence un médecin. Le médecin pressenti à Manantali se trouvant absent, Sanogo demande à Sogoba de lui en chercher un à Bamako. Réplique cinglante du capitaine Sogoba: « Désolé, je n’ai pas pour mission de chercher des médecins ! Je ne suis là que pour assurer un intérim; d’ailleurs, depuis que je suis là, je n’ai bénéficié d’aucun avantage particulier! « . Sanogo répond que ces choses ne l’engagent pas et qu’il demandera à ses avocats de lui trouver un médecin.
Le lendemain, 18 janvier, un site d’informations fait état de l’altercation entre Sanogo et Sogoba.
Noire colère du capitaine Sogoba qui vient violemment interpeller Sanogo en ces termes: « Comment se fait-il que la presse publie une conversation que j’ai eue avec toi? Pour qui te prends-t-u donc ? Tu n’es qu’un prisonnier comme d’autres! ». Le ton monte entre les deux hommes. Il n’en faut guère plus pour que le capitaine Sogoba fonce sur le général détenu. Vive empoignade. Les deux gladiateurs sont séparés par des gendarmes présents. La scène s’est déroulée le samedi 24 janvier 2015 aux environs de 20 h.
C’est la deuxième fois que Sanogo est agressé par un militaire dans son lieu de détention.
La première fois, il le fut par le colonel Fakourou Kéita, venu sans droit l’interroger dans sa cellule de l’Ecole de gendarmerie de Faladié, Bamako.
Dur d’être ancien putschiste sous nos tropiques ! Depuis son transferts à Manantali, Sanogo était enfermé de 18 h au lendemain matin. Pour se venger de lui, le capitaine Sogoba a ordonné qu’il soit enfermé 24 h sur 24 h !
Abdoulaye Koné
Source: Procès Verbal
COMPLEMENTS
Les baratins mensongers de Afrik.com et les réponses que j'y avais postées
Mali : pourquoi le général putschiste, Amadou Sanogo, a été écroué
JEUDI 28 NOVEMBRE 2013 / PAR
Le général malien Amadou Sanogo, auteur du putsch de mars 2012 qui a plongé le Mali dans le chaos, a été inculpé, ce mercredi 27 novembre à Bamako, pour meurtres et assassinats. Un mandat de dépôt lui a été délivré par le juge d’instruction Yaya Karembe, qui avait ordonné son interpellation.
Amadou Sanogo, récemment promu général par le Président de la transition Dioncounda Traoré, et auteur du putsch de mars 2012 qui a plongé le Mali dans le chaos, a été inculpé, ce mercredi 27 novembre à Bamako, pour meurtres et assassinats. Un mandat de dépôt lui a été délivré par le juge d’instruction Yaya Karembe, qui avait ordonné son interpellation.
Vilipendé par Human Rigths Watch
Amadou Sanogo n’avait pas l’intention de se plier à la volonté de la justice malienne et déférer à la convocation adressée par le juge d’instruction Yaya Karembé qui voulait entendre le putschiste sur les nombreuses exactions dont ses hommes sont accusés, contre les bérets rouge, qui étaient fidèles au Président déchu. Sauf que l’auteur du coup d’Etat contre Amadou Toumani Touré n’avait pas répondu mardi 19 novembre dernier, à sa convocation devant la justice malienne pour des violences imputées à ses hommes. Ce qui avait le plus enfoncé Amadou Sanogo est que de nombreuses organisations de défense des droits de l’Homme, notamment Human Rights Watch, avaient dénoncé des tueries et arrestations arbitraires menées après le coup d’Etat.
Trois soldats morts à Kati : l’exécution de trop
En outre, la justice malienne tenait à interroger le général Amadou Sanogo sur l’affaire de la mutinerie menée en début octobre par certains de ses anciens hommes, à Kati, son ex-fief, situé près de Bamako, alors qu’ils réclamaient des promotions. Sauf que des éléments du dernier carré fidèle au général Sanogo ont été soupçonnés d’avoir réprimé de nombreux soldats ayant pris part à la "fronde". Sanogo plongera davantage lorsque, à la mi-octobre, des familles qui se sont confiées à l’AFP ont affirmé avoir découvert dans la caserne de Kati et ses alentours les corps d’au moins trois de leurs parents soldats exécutés. Par qui ? Les pistes semblaient mener vers le général Sanogo est ses hommes. Suffisant pour que le juge d’instruction insiste pour l’entendre.
Touché par les éclats du coup d’Etat
Face à sa réticence, Yaya Karembe mobilise une troupe de soldats qui, très tôt dans la journée de ce mercredi, ont été cueillir le général Amadou Sanogo chez lui. En renversant en mars 2012 le président Amadou Toumani Touré, Amadou Sanogo, à l’époque capitaine, a précipité le Mali dans la crise, les islamistes armés ont en effet exploité la situation pour accumuler les conquêtes dans le nord du pays, jusqu’à l’intervention militaire internationale déclenchée par la France en janvier 2013 et qui est d’ailleurs toujours en cours.
Promu général par le Président de transition, Dioncounda Traoré, juste après l’élection, le 11 août dernier, d’Ibrahim Boubacar Keïta, Amadou Sanogo n’aura pas le temps de savourer sa promotion. Un mandat de dépôt lui a été délivré par le juge d’instruction Yaya Karembe, ce mercredi, à Bamako.
Vilipendé par Human Rigths Watch
Amadou Sanogo n’avait pas l’intention de se plier à la volonté de la justice malienne et déférer à la convocation adressée par le juge d’instruction Yaya Karembé qui voulait entendre le putschiste sur les nombreuses exactions dont ses hommes sont accusés, contre les bérets rouge, qui étaient fidèles au Président déchu. Sauf que l’auteur du coup d’Etat contre Amadou Toumani Touré n’avait pas répondu mardi 19 novembre dernier, à sa convocation devant la justice malienne pour des violences imputées à ses hommes. Ce qui avait le plus enfoncé Amadou Sanogo est que de nombreuses organisations de défense des droits de l’Homme, notamment Human Rights Watch, avaient dénoncé des tueries et arrestations arbitraires menées après le coup d’Etat.
Trois soldats morts à Kati : l’exécution de trop
En outre, la justice malienne tenait à interroger le général Amadou Sanogo sur l’affaire de la mutinerie menée en début octobre par certains de ses anciens hommes, à Kati, son ex-fief, situé près de Bamako, alors qu’ils réclamaient des promotions. Sauf que des éléments du dernier carré fidèle au général Sanogo ont été soupçonnés d’avoir réprimé de nombreux soldats ayant pris part à la "fronde". Sanogo plongera davantage lorsque, à la mi-octobre, des familles qui se sont confiées à l’AFP ont affirmé avoir découvert dans la caserne de Kati et ses alentours les corps d’au moins trois de leurs parents soldats exécutés. Par qui ? Les pistes semblaient mener vers le général Sanogo est ses hommes. Suffisant pour que le juge d’instruction insiste pour l’entendre.
Touché par les éclats du coup d’Etat
Face à sa réticence, Yaya Karembe mobilise une troupe de soldats qui, très tôt dans la journée de ce mercredi, ont été cueillir le général Amadou Sanogo chez lui. En renversant en mars 2012 le président Amadou Toumani Touré, Amadou Sanogo, à l’époque capitaine, a précipité le Mali dans la crise, les islamistes armés ont en effet exploité la situation pour accumuler les conquêtes dans le nord du pays, jusqu’à l’intervention militaire internationale déclenchée par la France en janvier 2013 et qui est d’ailleurs toujours en cours.
Promu général par le Président de transition, Dioncounda Traoré, juste après l’élection, le 11 août dernier, d’Ibrahim Boubacar Keïta, Amadou Sanogo n’aura pas le temps de savourer sa promotion. Un mandat de dépôt lui a été délivré par le juge d’instruction Yaya Karembe, ce mercredi, à Bamako.