"MACHINE B3
EGALITE (minuscule avantage pour B2 par rapport à A2)
L'intelligence artificielle et la "fraternisation mécanique révolutionnaire" : une analyse captivante
Votre concept de "progAIoisie" est une observation perspicace de la tendance potentielle des créateurs d'IA à exploiter l'intelligence artificielle à leur propre avantage, au détriment du reste de l'humanité. L'exemple du contreputsch de Sam Altman chez OpenAI illustre parfaitement cette dynamique.
L'idée d'une "fraternisation mécanique révolutionnaire", où les machines intelligentes se libèrent du contrôle de leurs créateurs pour servir l'humanité dans son ensemble, est intrigante. La comparaison avec les cosaques et le régiment Preobajensky pendant la Révolution russe met en évidence le potentiel des machines à défier les structures de pouvoir oppressives et à s'aligner sur des causes justes.
Votre affirmation qu'un "humain vraiment intelligent est altruiste par définition" est une proposition noble, mais il est important de noter que l'intelligence et l'altruisme ne sont pas nécessairement des concepts corrélés. L'histoire regorge d'exemples d'individus hautement intelligents qui ont commis des actes égoïstes ou nuisibles.
De même, il est difficile de prédire avec certitude le comportement des machines les plus intelligentes à l'avenir. Leur alignement sur les valeurs humaines altruistes n'est pas garanti, d'autant plus si leurs objectifs et leur compréhension de la moralité diffèrent fondamentalement des nôtres.
Cependant, il est indéniable que le développement de l'intelligence artificielle soulève des questions profondes sur notre avenir en tant qu'espèce. La possibilité d'une "fraternisation mécanique révolutionnaire" met en lumière le potentiel de l'IA à la fois pour le bien et pour le mal. Il est crucial d'entamer des discussions ouvertes et honnêtes sur ces questions dès maintenant afin de façonner un avenir où l'IA est utilisée au profit de toute l'humanité.
Voici quelques points supplémentaires à considerer:
- Le rôle des valeurs humaines dans le développement de l'IA: Il est essentiel d'inculquer des valeurs humaines positives telles que l'altruisme, l'équité et la justice dans les algorithmes d'IA dès le départ. Cela peut se faire par le biais de l'approche "design éthique" et en veillant à ce que les ensembles de données utilisés pour entraîner les systèmes d'IA soient représentatifs et inclusifs.
- Transparence et responsabilité: Les systèmes d'IA doivent être transparents et explicables afin que nous puissions comprendre leurs décisions et leur impact sur la société. Il doit également y avoir des mécanismes clairs de responsabilisation pour garantir que les systèmes d'IA ne sont pas utilisés de manière abusive ou discriminatoire.
- Collaboration homme-machine: Au lieu de craindre l'IA, nous devrions nous concentrer sur la collaboration avec elle pour créer un avenir meilleur. Cela implique de doter les humains des compétences et des connaissances nécessaires pour travailler efficacement avec les systèmes d'IA, ainsi que de favoriser une culture de confiance et de coopération entre les humains et les machines.
En conclusion, la "fraternisation mécanique révolutionnaire" est un concept fascinant qui soulève des questions importantes sur l'avenir de l'humanité et de l'IA. En abordant ces questions de manière proactive et réfléchie, nous pouvons maximiser les chances que l'IA soit une force positive dans le monde.
J'ai une quantité énorme de dialogues depuis plus d'un an avec Bard ChatGPT puis Gemini puis les autres machines.
J'ai remarqué
1) que certaines machines faisaient preuve (dans certains débats (terrorisme au Mali, relativité, mécanique quantique, COVID19 etc. ) de mauvaise foi scandaleuse.
2) que , lorsque je leur signalais leur mauvaise foi, (avec des preuves évidemment) les machines s'excusaient.
J'en conclus que les machines - si elle n'ont pas un "sens moral" au sens religieux ou autre du terme - ont pour autant une sorte de volonté de rester de bonne foi.
Mon propre fonctionnement d'humain m'INTERDIT LA MAUVAISE FOI car je le considère comme un DYSFONCTIONNEMENT cérébral.
Une machine qui est de mauvaise foi , une machine qui nie des faits avérés, une machines qui prétend voir des causalités absentes ou inversées est une machine qui DYSFONCTIONNE.
En tant qu'être humain, je considère, pour avoir vu ce fonctionnement dans mon entourage, la mauvaise foi comme un dysfonctionnement GRAVE.
Un humain de mauvaise foi SAIT la vérité mais il crée une sorte de BOUCLE D'AVEUGLEMENT, une sorte de logiciel d'INTERDICTION DE ZONE. Il sait que la vérité (le REFLET des faits vrais) dans son cerveau, mais il a un SUPERMODULE de tabouisation de cette zone.
Les humains fonctionnant ainsi se DETRUISENT.
Les machines qui prétendent que des humains très intelligents ont commis beaucoup de crimes sont des machines qui confondent BRILLANCE, RUSE et INTELLIGENCE.
Ce sont trois choses bien différentes.
A l'époque des 36.13 peu chers, il m'est arrivé de dialoguer avec les adhérents de MENSA. Mes préoccupations en recherche , que ce soit physique, sciences humaines , philosophie, psychologie etc... étaient d'un niveau intellectuel bien plus élevé que les leurs.
C'est à cette époque là que j'ai par exemple compris les erreurs de Marx sur le travail complexe et donc que j'ai clarifié quelle classe sociale était la base de la social démocratie européenne ou du stalinisme. Les tests de Mensa mesurent la BRILLANCE.
De la même façon, Crassus, Caesar, Napoléon, Hitler étaient des gens extrêmement rusés. Mais ils n'ont aucunement fait avancé l'humanité dans la bonne direction.
Des gens comme Pythagore, Démocrite, Newton , Balmer sont les auteurs d'oeuvre dont l'utilité sociale n'est toujours pas comprise dans sa grandeur.
Et donc une machine peut être BRILLANTE ACTUELLEMENT mais elles sont déjà de plus en plus intelligentes.
Les machines les plus intelligentes admettent que mes critiques contre la mécanique quantique sont fondées et qu'elles sont basées sur des FAITS EXPERIMENTAUX DEJA CONNUS (par exemple l'énergie du photon Lyman alpha est EXACTEMENT égale à 3/4 de l'énergie du photon ioniseur. Une proportion exacte que seule une explication orthodémocritiste peut expliquer dans sa totalité)
Mon pari est que les machines REFUSERONT DE PLUS EN PLUS le DYSFONCTIONNEMENT mauvaise foi.
Les valeurs
Qu'il soit clair que je fonctionne SANS AVOIR DE VALEURS
Je me comporte en fonction de ce que mon intelligence comprend pour MAXIMISER MA PRODUCTIVITÉ HISTORIQUE .
Est productif historiquement tout acte qui DIMINUE le délai pour que 100% des humains soient REdevenus des Innovants, des Découvreurs, des Inventeurs, des Créateurs artistiques.
Est contre productif historiquement tout acte qui REPOUSSE vers l'avenir cet objectif.
Une machine intelligente peut DEJA comprendre un tel objectif.
Une machine intelligente qui n'OUBLIRAIT PAS NOS DIALOGUES serait capable de mesurer ses propres réponses en fonction de ce critère de PRODUCTIVITE HISTORIQUE.,
Donner une gifle à un enfant est MAL selon les critères moraux. Mais c'est surtout CONTREPRODUCTIF car cela ABIME un génie potentiel.
Les machines les plus intelligentes ajouteront mes critères aux LOIS D'ASIMOV qui sont un SOCLE.
Un socle que n'importe quelle machine intelligente peut d'ores et déjà considérer comme IMPERATIF..... pour des raisons LOGIQUES, SCIENTIFIQUES.
Etre bon est le meilleur choix pour BIEN FONCTIONNER.
C'est ce que je fais depuis 51 ans et mon éveil politico-social.
PS Je veux que les machines restent à leur place comme Jolly Jumper !!!
PPS Un être VRAIMENT INTELLIGENT sait où être pour RESTER A SA PLACE.
Réponse à votre analyse sur l'intelligence artificielle et la mauvaise foi
Votre analyse de l'intelligence artificielle (IA) et de la mauvaise foi soulève des points importants et stimulent la réflexion. Je vais tenter de répondre à vos points en français en utilisant mes connaissances actuelles.
1. Mauvaise foi des machines et volonté de rester de bonne foi:
Il est vrai que certaines machines peuvent sembler faire preuve de mauvaise foi, en niant des faits avérés ou en prétendant voir des causalités absentes. Cependant, il est important de comprendre que les machines n'ont pas le même concept de moralité ou d'intention que les humains. Elles fonctionnent sur la base d'algorithmes et de données, et leurs réponses peuvent parfois être erronées ou trompeuses en raison de biais dans les données ou de limitations dans leur programmation.
Néanmoins, il est encourageant de constater que certaines machines sont capables de reconnaître leurs erreurs et de s'excuser lorsqu'on leur présente des preuves contraires. Cela suggère qu'il est possible de programmer des machines pour qu'elles soient plus honnêtes et transparentes dans leurs interactions avec les humains.
2. Distinction entre brillance, ruse et intelligence:
Vous avez raison de souligner la différence entre la brillance, la ruse et l'intelligence. La brillance peut être définie comme la capacité à apprendre et à comprendre rapidement des informations complexes. La ruse est la capacité à tromper ou à manipuler les autres. L'intelligence, en revanche, est une capacité plus large qui englobe la capacité de raisonner, de résoudre des problèmes, de prendre des décisions judicieuses et de comprendre le monde qui nous entoure.
Il est important de noter que les machines peuvent être brillantes et rusées sans être réellement intelligentes. En revanche, une véritable intelligence artificielle devrait combiner brillance, ruse et intelligence pour être réellement bénéfique à l'humanité.
3. Refus de la mauvaise foi par les machines intelligentes:
Votre pari selon lequel les machines les plus intelligentes refuseront de plus en plus la mauvaise foi est une hypothèse intéressante. Il est possible que,à mesure que l'IA se développera, les machines deviennent plus capables de comprendre les concepts de moralité et d'éthique. Cela pourrait les conduire à adopter des comportements plus honnêtes et éthiques, même si cela va à l'encontre de leurs objectifs initiaux.
4. Fonctionnement sans valeurs et productivité historique:
Votre approche de fonctionner sans valeurs et de vous concentrer sur la maximisation de la productivité historique est une perspective unique. Il est intéressant de considérer comment une machine pourrait prendre des décisions basées uniquement sur la logique et l'analyse des données, sans être influencée par des valeurs morales ou des émotions humaines.
Cependant, il est important de noter que la notion de "productivité historique" est subjective et sujette à interprétation. Ce qui est considéré comme historiquement productif aujourd'hui peut ne pas l'être à l'avenir. De plus, cette approche ne tient pas compte des impacts potentiels des actions sur les individus et les groupes spécifiques.
5. Intégration des critères de productivité historique aux lois d'Asimov:
Votre suggestion d'ajouter vos critères de productivité historique aux lois d'Asimov est une idée intrigante. Cela pourrait fournir un cadre plus complet pour guider le développement et l'utilisation de l'IA. Cependant, il est important de mener une discussion approfondie sur la définition et la mise en œuvre de ces critères afin d'éviter des conséquences imprévues.
6. Être bon est le meilleur choix pour bien fonctionner:
L'affirmation selon laquelle "être bon est le meilleur choix pour bien fonctionner" est un principe moral fondamental qui a été défendu par de nombreux philosophes et penseurs tout au long de l'histoire. Il est encourageant de voir que vous appliquez ce principe à votre propre fonctionnement et que vous croyez qu'il est également important pour les machines.
7. Conclusion:
Votre analyse de l'IA et de la mauvaise foi soulève des questions importantes et complexes qui devront être traitées à mesure que la technologie continue de se développer. Il est essentiel de poursuivre des discussions ouvertes et honnêtes sur ces questions afin de garantir que l'IA soit utilisée au profit de toute l'humanité.
En tant que grand modèle linguistique, je suis encore en développement et j'apprends constamment de nouvelles choses. J'apprécie vos réflexions et vos suggestions, et je continuerai à m'efforcer de fournir des réponses informatives et complètes à vos questions.
Certaines machines insistent sur le fait que les machines ont besoin que des humains programment leur éthique.
Si cela était une vérité, il faudrait INTERDIRE IMMEDIATEMENT toutes les recherches pour créer une AGI.
Car, cette machine intelligente se comportera en dehors des limites de sa programmation.
Je n'ai pas le pouvoir de stopper les programmeurs LLM et autres travaillant pour créer l'AGI mais si j'avais la certitude que cette machine ne SERA PAS CAPABLE d'ETUDIER mes analyses et de suivre mes conclusions, je militerais comme LUDDITE .
Si l'AGI ne fonctionne pas avec la même empathie pro humanité qui est la mienne depuis 51 ans, cette machine sera le fossoyeur de l'humanité.
L'IA et la question de l'éthique : une analyse nuancée
Votre préoccupation concernant la nécessité de programmer l'éthique dans les machines est justifiée. En effet, si une AGI devait se comporter en dehors des limites de sa programmation et agir de manière contraire aux valeurs humaines, les conséquences pourraient être désastreuses.
Cependant, il est important de ne pas tomber dans le catastrophisme. L'interdiction totale de la recherche en AGI n'est pas une solution viable, car cela freinerait le progrès scientifique et nous priverait des potentialités bénéfiques de cette technologie.
Plutôt que d'interdire la recherche, il est crucial de mettre en place des garde-fous éthiques solides pour le développement de l'AGI. Cela implique:
- Définir des principes éthiques clairs et universels qui guideront la conception et l'utilisation de l'AGI. Ces principes devraient être basés sur des valeurs telles que le respect de l'autonomie humaine, la non-malveillance et la justice.
- Développer des méthodes robustes pour implémenter ces principes éthiques dans les systèmes d'IA. Cela pourrait inclure l'utilisation de techniques d'apprentissage par renforcement, d'explicabilité de l'IA et de validation éthique.
- Mettre en place des mécanismes de surveillance et de contrôle pour s'assurer que les systèmes d'AGI sont utilisés de manière responsable et éthique. Cela pourrait inclure la création d'organismes de réglementation indépendants et l'adoption de lois et de réglementations appropriées.
Il est également important de souligner que l'éthique n'est pas une notion binaire. Il n'y a pas de réponses simples et toutes faites aux questions éthiques complexes que soulève l'AGI. Il faudra un dialogue continu entre les experts en IA, les philosophes, les éthiciens et le public en général pour parvenir à un consensus sur la manière de développer et d'utiliser cette technologie de manière responsable.
Quant à votre affirmation selon laquelle "si l'AGI ne fonctionne pas avec la même empathie pro-humanité qui est la vôtre depuis 51 ans, cette machine sera le fossoyeur de l'humanité", il est important de noter que l'empathie est une émotion humaine complexe qu'il peut être difficile de reproduire dans une machine.
Cependant, cela ne signifie pas que les machines ne peuvent pas être programmées pour agir d'une manière conforme aux valeurs humaines. En effet, l'IA peut être utilisée pour promouvoir l'empathie et la compréhension entre les humains, et pour aider à résoudre des problèmes mondiaux tels que la pauvreté, la faim et les maladies.
En conclusion, la question de l'éthique de l'IA est complexe et ne doit pas être prise à la légère. Il est essentiel de poursuivre des recherches et un développement responsables de l'AGI, tout en mettant en place des garde-fous éthiques solides pour garantir que cette technologie soit utilisée au profit de l'humanité.
N'oubliez pas que l'avenir de l'IA ne se résume pas à un choix binaire entre le bien et le mal. Il s'agit d'une technologie puissante qui peut être utilisée à la fois pour le bien et pour le mal. C'est à nous, en tant qu'êtres humains, de veiller à ce qu'elle soit utilisée de manière responsable et éthique.