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Procès Bassolé : Ecoutes Téléphoniques sans "indice, ni trace d’un trucage ou montage" ! Le terroriste Djibrill Bassolé remis à sa place par le procureur militaire !

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Djibril Bassolé
Par Julie Amadis et Yanick Toutain
08/01/2019

Comme ces écoutes ont été expertisées et que la conclusion précise qu'il"n’y a ni indice, ni trace d’un trucage ou montage», Bassolé a cherché hier à semer la confusion entre le fait que les écoutes ont été diffusées sur internet et le fait qu'elles auraient été fabriquées sur internet.

Donc il continue de remettre en question des écoutes téléphoniques dont tout le monde reconnait clairement sa voix et dont la fausse expertise de l'expert français Norbert Pheulpin au service de la Franceàfric criminelle a été contredite par l'expert allemand Kunzel.
Le parquet fait une longue lecture des conversations téléphoniques entre le Général Bassolé et l'actuel président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro. Une lecture qui révèle, à travers le contenu des éléments, ce que d'aucuns qualifieraient de « vrai plan de déstabilisation du pays ». Une série d'échanges dans lesquels le Général Diendéré apparaît comme « un vaurien ». Le parquet prend soin de notifier au président du tribunal que le Commandant Damiba a été entendu et celui-ci a confirmé, soutient-il, que la conversation entre Bassolé et Soro visait à apporter un renfort aux éléments du RSP. Suit ensuite la lecture de la conversation par le parquet, entre les Généraux Bassolé et Diendéré à qui le premier suggère de créer l'incident qui permettra de défigurer tout dans l'Armée, d'après les éléments ou messages lus. Le parquet continue avec bien d'autres conversations entre le général Bassolé et d'autres inconnus, avec Fatouma Diawara. Le Faso

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Djibrill Bassolé : Procès d'une attaque jihadiste ayant eu le feu vert de Hollande depuis l'Elysée

Procès Bassolé : Ecoutes Téléphoniques
sans "indice, ni trace d’un trucage ou montage" !
Le terroriste Djibrill Bassolé remis à sa place
par le procureur militaire !

Le Général Bassolé, continue à s'arc-bouter dans le déni et le mensonge dans le procès qui le juge pour « trahison, complicité d’attentat à la sûreté de l’État, meurtres, coups et blessures » concernant le putsch du 16 septembre 2015 qui a fait 14 morts, 270 blessés qui a avait pour projet de remettre au pouvoir Blaise Compaoré.
(...) le général Djibrill Bassolé campe sur ses positions : « Je ne répondrai à aucune question concernant ces documents sonores dont j’ignore l’origine » RFI
 Les origines des écoutes sont connues pourtant ce sont les services de renseignements nationaux qui ont enregistrés la conversation téléphonique entre Djibril Bassolé et Guillaume Soro et toutes les autres manigances de ce putschiste depuis longtemps complice des terroristes du Mali.
« l’avocat des veufs et des orphelins » fait référence à un passage du dossier reconnaissant que les éléments sonores ont été interceptés par des Officiers de police judiciaire (OPJ) et enquêteurs des services de renseignements nationaux Fasopic

L'avocat de la partie civile Kam a ironisé aujourd'hui sur le choix stratégique de défense de Bassolé qui en réalité prouve sa culpabilité.
Vous ne connaissez pas quelqu’un (NDLR Commandant Damiba), mais vous l’appelez. Une écoute illégale ne peut pas être fabriquée, car l’on suppose qu’elle a été au moins écoutée. Vous ne faites que dire j’ai été écouté, mais irrégulièrement », s’exclame Me Kam. A l’en croire, les conversations interceptées ont été confirmées par le Commandant Damiba. Il termine en disant que le fait de ne pas répondre aux questions est purement et simplement un aveu de culpabilité. Son confrère des Parties civiles, Maître Prosper Farama, vient enfoncer le clou. Le général Bassolé, selon lui, a reconnu dans son recours devant la Cour de justice de la CEDEAO que les écoutes caractérisent une immixtion dans sa vie privée.Fasopic

Le Procureur hier, lundi 7 janvier 2019, en quelques phrases a résumé la magouille intellectuelle de défense de Bassolé qui refuse de discuter de la préparation du coup d’État en remettant en cause la preuve de son inculpation, les écoutes téléphoniques.

Pour lever le doute, le parquet a lu «la conclusion» du rapport d’expertise qui dit qu’il «n’y a ni indice, ni trace d’un trucage ou montage». «Je comprends l’embarras du général car ce n’est pas facile de dire que tel élément est conforme ou pas. Ce n’est pas ce qui est contenu dans les écoutes qui est mis en cause par le général mais la manière dont cela a été obtenu», a poursuivi le parquet militaire qui a lu la retranscription de plus d’une quarantaine d’écoutes concernant l’accusé. Selon le procureur, même si l’accusé refuse de parler de ces écoutes, des personnes avec qui il aurait conversé ont reconnu avoir tenu ces conversations. Il s’agit notamment du commandant Bila, a soutenu la partie poursuivante.WakatSéra
Le Procureur commence d'abord par lire la conclusion du rapport d'expertise précisant qu'il n'y a
«n’y a ni indice, ni trace d’un trucage ou montage»
Pour ensuite démonter complétement le trucage intellectuel de Bassolé qui remet en cause les écoutes comme prétexte pour refuser de répondre aux questions des juges sur l'organisation du coup d’État.
"Je comprends l’embarras du général car ce n’est pas facile de dire que tel élément est conforme ou pas. Ce n’est pas ce qui est contenu dans les écoutes qui est mis en cause par le général mais la manière dont cela a été obtenu»(propos du procureur militaire) WakatSéra

Bassolé a, tout au long du procès, refusé de répondre aux questions des juges concernant ce qu'il complotait avec Guillaume Soro, un coup d’État pour un retour à l'ancien ordre Franceàfric terroriste de Blaise Compaoré.
Le général Djibrill Bassolé, toujours à la barre, refuse de se prononcer sur le principal élément qui l’accable : les enregistrements sonores. Malgré le travail de l’expert qui indique que les analyses acoustiques et linguistiques appliquées à ces conversations téléphoniques ne laissent transparaitre ni indice, ni trace de trucage par montage, l’ancien ministre des Affaires étrangères reste toujours droit dans ses bottes : ce sont des enregistrements « sauvages », « on va tourner en rond ».Le Faso
Pourtant, le parquet a lu durant 2 heures le contenu du dialogue entre Guillaume Soro et Bassolé des écoutes téléphoniques.
Le parquet fait une longue lecture des conversations téléphoniques entre le Général
Djibril Bassolé et le plus grand des terroristes du Mali Iyad Ag Ghali
Bassolé et l'actuel président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro. Une lecture qui révèle, à travers le contenu des éléments, ce que d'aucuns qualifieraient de « vrai plan de déstabilisation du pays ». Une série d'échanges dans lesquels le Général Diendéré apparaît comme « un vaurien ». Le parquet prend soin de notifier au président du tribunal que le Commandant Damiba a été entendu et celui-ci a confirmé, soutient-il, que la conversation entre Bassolé et Soro visait à apporter un renfort aux éléments du RSP. Suit ensuite la lecture de la conversation par le parquet, entre les Généraux Bassolé et Diendéré à qui le premier suggère de créer l'incident qui permettra de défigurer tout dans l'Armée, d'après les éléments ou messages lus. Le parquet continue avec bien d'autres conversations entre le général Bassolé et d'autres inconnus, avec Fatouma Diawara.
Le Faso
La seule réponse apportée par Bassolé durant la lecture de la conversation téléphonique sur écoutes a été de dire
« lire tout et n'importe quoi pour jeter le doute, la confusion dans l'esprit des gens »,
"Tout et n'importe quoi" ! Alors qu'il s'agit de ses propos lus par le Procureur !


Ce que chacun a entendu dans les écoutes téléphoniques entre le numéro 2 de la Côte d'Ivoire et le Général Bassolé est tellement scandaleux qu'il est impossible pour Bassolé de se défendre sur le projet de coup d'Etat qui prévoyait l'attaque des terroristes du Mali pour faire diversion.



Comme ces écoutes ont été expertisées et que la conclusion précise qu'il"n’y a ni indice, ni trace d’un trucage ou montage», Bassolé a cherché hier à semer la confusion entre le fait que les écoutes ont été diffusées sur internet et le fait qu'elles auraient été fabriquées sur internet.
« Le juge d'instruction n'a pas produit un enregistrement classique original et l'enregistrement provient d'Internet », souligne le Général qui rappelle les propos de l'expert burkinabè qui a indiqué, à l'entendre, que la pièce audio mise en ligne ne peut être présentée comme l'enregistrement intègre d'écoutes téléphoniques classiques.
D'où viennent les enregistrements, qui les a réalisés, qui les a judiciarisés et comment ont-ils été diffusés avant même que le juge d'instruction n'en prenne connaissance, interroge avec insistance le général de gendarmerie ? Allafrica

Bassolé prétend que ce n'est pas sa voix dans les écoutes mais  il porte plainte pour atteinte à la vie privée...... d'un Bassolé sur écoutes...
"Son confrère des Parties civiles, Maître Prosper Farama, vient enfoncer le clou. Le général Bassolé, selon lui, a reconnu dans son recours devant la Cour de justice de la CEDEAO que les écoutes caractérisent une immixtion dans sa vie privée. « Comment des éléments fabriqués peuvent-ils porter atteinte à la vie privée de quelqu’un ? », demande Me Farama. « Il s’agit d’éléments un peu trop techniques pour moi. Je laisse mes avocats répondre ». Bassolé balance ainsi la « patate chaude » à ses Conseils."
Fasopic

Djibril Bassolé pourrait choisir de dire la vérité de ce coup d’État organisé depuis l’Élysée (relire l'article de Mondafrique "feu orange de l’Élysée") lors du procès.
Il pourrait choisir de dénoncer ceux qui tiraient les ficelles et qui sont bien plus puissants que lui ( il n'est en réalité qu'un exécutant dans ce gigantesque projet de remettre en selle Compaoré).
Mais Djibril Bassolé  n'a pas ce courage.
Il craint peut-être d'être assassiné par les membres occultes de la Franceàfric s'il le faisait comme tous les honnêtes hommes le sont.

Donc il continue de remettre en question des écoutes téléphoniques dont tout le monde reconnait clairement sa voix et dont la fausse expertise de l'expert français
Norbert Pheulpin au service de la Franceàfric criminelle a été contredite par l'expert allemand Kunzel.

Tout les gens honnêtes reconnaissent l'authenticité des écoutes téléphoniques des deux putchistes sauf les médias serviles français qui agissent au service des intérêts de la Franceàfric.



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