REVACTU
22/3/2017
Les rebelles,
[Il s'agit des terroristes MNLA NdRevactu] la France les connaît bien. A la fin de l'année dernière, des notables touaregs maliens proches du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ont été reçus secrètement au quai d'Orsay à Paris.
(...) A propos de l’alliance éventuelle entre le MNLA et Aqmi, Henri de Raincourt affirme qu’« elle n’est pas confirmée. Le MNLA a pris soin de déclarer qu’elle n’existait pas. (…) Je rappelle que si la France, effectivement, a rencontré des représentants du MNLA l’année dernière, elle ne l’a pas fait depuis que ce dernier s’est engagé dans des actions militaires.(infra)
Serge Daniel, correspondant de Radio France internationale et l’Agence France-Presse à Bamako depuis vingt ans, déclare le 16 février au quotidien français Libération, qu'il était convaincu que le MNLA et des membres d'AQMI « ont combattu côte à côte à Aguelhoc, où des exécutions sommaires de soldats ont eu lieu fin janvier »17.
Les rebelles,
[Il s'agit des terroristes MNLA NdRevactu] la France les connaît bien. A la fin de l'année dernière, des notables touaregs maliens proches du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ont été reçus secrètement au quai d'Orsay à Paris.
(...) A propos de l’alliance éventuelle entre le MNLA et Aqmi, Henri de Raincourt affirme qu’« elle n’est pas confirmée. Le MNLA a pris soin de déclarer qu’elle n’existait pas. (…) Je rappelle que si la France, effectivement, a rencontré des représentants du MNLA l’année dernière, elle ne l’a pas fait depuis que ce dernier s’est engagé dans des actions militaires.(infra)
Serge Daniel, correspondant de Radio France internationale et l’Agence France-Presse à Bamako depuis vingt ans, déclare le 16 février au quotidien français Libération, qu'il était convaincu que le MNLA et des membres d'AQMI « ont combattu côte à côte à Aguelhoc, où des exécutions sommaires de soldats ont eu lieu fin janvier »17.
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Matthias Fekl nommé ministre de l'Intérieur. Encore un des Young Leaders
«Fekl, explique le maire du Havre,
[LR Edouard Philippe]
avait été mon étudiant à Science Po.
J’avais repéré ce petit gars sympa.
C’est quelqu’un de très bien
et je crois d’ailleurs qu’il n’a pas regretté
d’entrer dans ce programme [Young Leaders].»
Le Figaro
[LR Edouard Philippe]
avait été mon étudiant à Science Po.
J’avais repéré ce petit gars sympa.
C’est quelqu’un de très bien
et je crois d’ailleurs qu’il n’a pas regretté
d’entrer dans ce programme [Young Leaders].»
Le Figaro
"entre 1997 et 2001, John Negroponte présida la FAF
[Young Leaders],
avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (DNI), dirigeant l’US States Intelligence Community (qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA). Atlantico
Matthias Fekl parrain de la chef terroriste MNLA
Nina Wallet Intalou criminelle de Aguel Hoc
avec Hollande et Gattaz MEDEF Forum Agyp
Matthias Fekl est un chef terroriste qu'il faut interpeller sans tarder.
Et l'extrader au tribunal Nuremberg de l'Afrique pour y faire condamner le plus vite possible ses activités terroristes en relation avec MNLA et son agence auxiliaire Ansardine.
Matthias Fekl assure la promotion de la chef terroriste MNLA Nina Wallet Intallou.
Une terroriste organisatrice des attaques Ménaka Aguel Hoc les 17-18 janvier 2012.
Nina Wallet Intalou, née en 1963 à Kidal, est une femme d'affaires et une politicienne malienne d'origine touareg appartenant à la tribu des Idnane. Licenciée de droit public, militante politique dès 1984, elle crée une entreprise à Abidjan (Côte d'Ivoire) en 1989 qui obtient le monopole de nettoyage des cabines téléphoniques1. Au Mali, elle est élue maire de Kidal en 1997, mais des pressions islamistes l’obligent à renoncer à son poste1. En exil en Mauritanie, elle prend part en 2012 à l'insurrection armée et devient membre du bureau exécutif du Mouvement national pour la libération de l'Azawad2.Une terroriste membre de la direction MNLA que Hollande a imposé comme ministre aux Maliens en occupant tout le pays .... sous prétexte de terroristes que Sarkozy et Fillon avaient missionnés en 2011 et que Hollande a réinstallé au Nord-Mali en janvier 2013
Le 7 juillet 2016, suite au remaniement ministériel, Nina Wallet Intalou est nommée Ministre de l'Artisanat et du Tourisme3.(Wikipédia)
Les médias français ont rapidement oublié la date du 24 janvier 2012.#Taubira#MarrainedesTerroristes#NinaWalletIntallou#MNLA— Yanick Toutain (@YanickToutain) 8 mars 2017
VS les femmes de #Kati#Mali
#JournéeDeLaFemme#InternationalWomensDay@gwordiapic.twitter.com/H7BMYBW5BG
Pourtant l'attaque de Aguel Hoc a une page Wikipédia.
Le , la ville est prise par Al-Qaïda au Maghreb islamique, Ansar Dine et le MNLA, 82 à 153 soldats maliens sont massacrés3,4.On y voit les terroristes MNLA narco-trafiquants du Mali parrainé par un député européen EELV François Alfonsi avoir passé alliance avec les jihadistes Ansardine de Iyad Ag Ghali et le MUJAO.
83 militaires maliens ont été assassinés par ces terroristes.
HENRI DE RAINCOURT AVAIT ADMIS UNE REUNION SECRETE AU QUAI D'ORSAY LE MOIS PRECEDENT L'ATTAQUE TERRORISTE
Mali : La France pour un dialogue avec les rebelles du MNLA ?(MFI / 14.02.12) Le ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt, est rentré d'une tournée expresse au Mali, au Niger et en Mauritanie. Pour la France, rappelle-t-il, il est urgent de convaincre les rebelles du MNLA de venir à la table des discussions. Mais, l’intégrité territoriale du Mali est indiscutable. Sur les ondes de RFI, il a révélé que des massacres avaient été perpétrés dans la localité d’Aguelhok, dans le nord du Mali en proie à la guerre : « Il y a eu des violences absolument atroces et inadmissibles à Aguelhoc. Il y a eu effectivement des exécutions sommaires : des soldats, des personnes, on parle d’une centaine, qui ont été capturées et froidement exécutées, ce qui est absolument inqualifiable. Certains prétendent que la méthode utilisée pour l’exécution s’apparente à celle utilisée par al-Qaïda. (…) En tout cas des méthodes barbares et expéditives. »Les rebelles, la France les connaît bien. A la fin de l'année dernière, des notables touaregs maliens proches du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ont été reçus secrètement au quai d'Orsay à Paris. Message de ces émissaires touaregs : « Nous pouvons aider la France à lutter contre Aqmi » (al-Qaïda au Maghreb islamique). Réponse des Français : « Très bien, mais ce n'est pas une raison pour qu'on vous soutienne contre le gouvernement malien ».Après l'offensive des rebelles dans le Nord-Mali, la France répète donc aujourd’hui haut et fort sa position : « Pas touche à l'intégrité territoriale du Mali ». Elle profite toutefois de ses contacts confidentiels de la fin de l'année dernière pour essayer d'amener les rebelles touaregs à la table du dialogue. Pour cela, elle compte aussi sur un pays de la sous-région, la Mauritanie, qui a des relations suivies avec le MNLA. C'est une des raisons pour lesquelles Henri de Raincourt a rendu visite au président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, vendredi dernier, à Nouakchott.A propos de l’alliance éventuelle entre le MNLA et Aqmi, Henri de Raincourt affirme qu’« elle n’est pas confirmée. Le MNLA a pris soin de déclarer qu’elle n’existait pas. (…) Je rappelle que si la France, effectivement, a rencontré des représentants du MNLA l’année dernière, elle ne l’a pas fait depuis que ce dernier s’est engagé dans des actions militaires. Et si le MNLA veut être considéré comme un acteur fiable, c’est à lui de faire les avances et les démarches nécessaires. Le MNLA a des représentants dans un certain nombre de pays de la sous-région et n’a aucune difficulté à faire connaître sa bonne volonté… (…) En particulier à la Mauritanie. »Quant aux six otages français, il a indiqué que « la façon d’appréhender la présence d’Aqmi sur le terrain est notoirement différente selon les chefs d’Etat concernés. Il faut en prendre acte. Il y a aussi le fait qu’il y a des otages sur le terrain et que par conséquent, c’est assez difficile d’engager directement des opérations qui seraient susceptibles de mettre en danger la vie de nos otages. La vie de nos compatriotes est à préserver d’abord et avant tout. (…) Certains nous disent avoir des contacts plus ou moins directs avec des petites organisations locales sur le terrain et que la situation de nos otages, pour précaire et détestable qu’elle soit, mais qu’avec beaucoup de courage, ils survivent. » (source RFI en cache Google)
Raincourt oublie juste de préciser que l'adjoint de Gadoullet ex-colonel DGSE et émissaire AREVA était un des CHEFS JIHADISTES..... de janvier 2012
AGUEL HOC UN MASSACRE TELEGUIDE PAR SARKOZY FILLON JUPPE ET LE GENERAL PUGA
Le 18 janvier, la petite ville d'Aguel'hoc est attaquée par les rebelles. L'assaut débute à 3 heures 30 du matin, les assaillants commencent par couper le réseau téléphonique, tandis qu'un groupe, dissimulé par les habitations de la ville progresse vers le camp militaire sans être vu. Ils trouvent une position favorable sur les toits d'où ils peuvent mitrailler le camp militaire. De plus, en périphérie de la ville, les enseignants et étudiants de l'Institut de formation des maîtres sont faits prisonniers, ceux-ci sont utilisés comme boucliers humains afin de se protéger d'éventuels raid aériens2.
Cependant le premier jour, l'armée malienne repousse les forces indépendantistes et islamistes, elle effectue même quelques sorties avec des BRDM-2. Selon me ministère malien de la Défense, ce premier combat a fait 35 morts chez les assaillants. Les pertes de l'armée malienne sont d'un mort et 7 blessés7,8.
Quant aux forces d'Ansar Dine, elles seraient dirigées par Abou Mohame, dit Cheikh Aoussa, le commandant en second du mouvement dirigé par Iyad Ag Ghali9. Selon un officier des services de renseignement du Mali, les assaillants sont commandés par le colonel déserteur Ibah ou M'Bam Ag Moussa, dit "Bamoussa"10.
Le vendredi 20 janvier, un convoi de l'armée malienne venu renforcer la garnison d'Aguel'hoc est repoussé lors de la bataille d'In Emsal.
Après quelques légères escarmouches, le 24 janvier, à cinq heures du matin, les rebelles lancent un deuxième assaut. À court de munitions, les militaires maliens se rendent. Mais ils sont massacrés le même jour, certains sont tués d'une balle à la tête, d'autres sont égorgés11.
Le lendemain, la caserne est bombardée par l'aviation malienne12 et, venue de Kidal une nouvelle troupe malienne commandée par le colonel Ag Gamou fait route sur Aguel'hoc, soutenue par des hélicoptères Mil Mi-24. Les rebelles préfèrent se retirer et abandonnent la ville qui est reprise sans combat par les soldats maliens, 41 corps de militaires sont retrouvés dans des fosses communes dans un premier bilan11,2.
LIRE CET ARTICLE DE 2012
MARDI 18 DÉCEMBRE 2012
Un premier hommage au capitaine Sékou Traoré. Il sera au panthéon des héros de la libération de l'Afrique. Victime et résistant contre l'attaque Sarkozy-Hollande-Qatar-Ancar Eddine contre le Mali, contre l'Afrique
La plupart de ces articles sont anciens. Car la vérité sur ce qui s'est passé au Mali est soigneusement occultée par les médias. Il y a un complot des médias français contre les Africains. Ils ne disent que ce qu'ils veulent bien dire ou que ce qu'ils sont contraints de mettre en lumière.
L'auteur de cet article victime d'une amende politique esclavagiste obtenue par un trucage de la loi française et un usage totalement farfelu de l'article 9 du code civil (un coup d'Etat fasciste est de la vie intime) est aux premières loges pour contempler les magouilles des fascistes esclavagistes.
Le capitaine Sékou Traoré a payé de sa vie l'attaque du Qatar contre le Mali sur ordre de Sarkozy et l'accord de Hollande.
La Révolution Africaine n'a pas fini de lui rendre hommage
LES PHOTOS DES VICTIMES DU COMPLOT SARKOZY-HOLLANDE-QATAR
LES ASSASSINS ONT ETE RECOMPENSES : ADMISSSION ACCELEREE DANS LA FRANCOPHONIE !
2 NOVEMBRE 2012
L'auteur de cet article victime d'une amende politique esclavagiste obtenue par un trucage de la loi française et un usage totalement farfelu de l'article 9 du code civil (un coup d'Etat fasciste est de la vie intime) est aux premières loges pour contempler les magouilles des fascistes esclavagistes.
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Crise au Nord : Les photos du massacre d’Aguelhock
Hommage au capitaine Sékou Traoré alias Bad et à tous ses hommes qui ont combattus les bandits armés, les mains vides.
Bad et ses hommes ont préférés la mort plutôt qu’à l’abandon d’une partie du territoire national.
Vous êtes de vrais héros, vous êtes morts pour une cause noble.
Le peuple Malien tout entier se souviendra de vous
De la Flash à l’EMIA de koulikoro ou je t’ai connu, de Sévaré au bataillon Para, de la chine à Aguel Hoc ou tu as rendu l’âme, à seulement une trentaine d’année de ta vie ! tu as toujours su t’imposer ton ardeur, ton courage et surtout ton amour pour la défense de l’intégrité du territoire national. Que Dieu est pitié de toi et de tes hommes.
Séga Diarrah le 03 février 2012 pour maliactu.net
Séga Diarrah le 03 février 2012 pour maliactu.net
2 NOVEMBRE 2012
MALI : Massacre d’Aguelol-hoc - haut trahison de Président Amadou Toumani Touré
Versión para impresiónSend by email
Massacre d’Aguelol-hoc - Un rescapé mouille ATT
Aliou Badara Diarra, 2 novembre 2012
http://www.malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_no...
Aliou Badara Diarra, 2 novembre 2012
http://www.malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_no...
L’ami d’un capitaine se souvient. Il y a beaucoup de non-dits dans le massacre d’Aguel-Hoc qui a vu l’assassinat froid de 118 soldats de l’armée malienne sur place par les éléments du MNLA, en a fait partie le commandant de l’unité méhariste de la localité, le capitaine Sékou Traoré dit Bad, ancien leader estudiantin.
Lui avait vu la mort venir, mais a préféré la défense de la patrie. Ce snipper hors pair victime d’un complot d’Etat de la part d’ATT, a confié ceci à sont ami avant de mourir : « ce pays va fonctionner comme ça, mais si nous voulons, c’est à nous de changer l’ordre des choses. Restez ici, je viendrai vous chercher » et fait référence avec sa conversation avec le général ATT sur le téléphone satellitaire des rebelles.
Le "bons sens" aurait voulu que le MNLA, qui est le seul mouvement à affronter les islamistes dans l'Azawad, soit soutenu et aidé par l'ensemble des Etats qui luttent contre le terrorisme. Au lieu de cela, à notre grande surprise, les résolutions de l'ONU ne font aucune injonction aux divers groupes terroristes qui occupent notre territoire. Mieux encore, malgré l'historique macabre des années de massacres des populations touarègues par le Mali, les Nations Unies exhortent le MNLA à renoncer à l'indépendance de l'Azawad et occultent le droits des peuples à disposer d'eux-mêmes, alors-même que nous réunissons toutes les conditions requises à son application.(signature Nina Wallet Intalou, membre de l'Exécutif du MNLA)La terroriste, alliée dans son groupe narco-trafiquants aux jihadistes Ansardine, Mujao, AQMI inflige une défaite qui expulse du Nord Mali l'armée malienne et vient se plaindre en juillet 2012 que les jihadistes s'en prennent aux femmes de son groupe terroriste MNLA......!!!
EN AVRIL 2012 JUPPE QUI AVAIT ORGANISE AVEC SARKOZY FILLON ET LE GENERAL PUGA L'ATTAQUE TERRORISTE MNLA ANSARDINE AQMI (cf TEMOIGNAGE HAMA AG MAHMOUD) PROCLAME AVEC UNE HYPOCRISIE ABSOLUE SON SOUHAIT D'INTERVENIR AU MALI
Alain Juppé : La situation est très préoccupante, je dirais même dramatique. Et c’est la raison pour laquelle, lorsque je suis allé à Dakar il y a 48 heures, j’ai participé au sommet des chefs d’Etat de la Cédéao, la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest. Et la Cédéao s’est fortement engagée sur deux plans. D’abord le plan politique pour obtenir le retrait de la junte militaire et le rétablissement de l’ordre constitutionnel afin que le processus électoral puisse s’engager. Blaise Compaoré, le président du Burkina Faso, a été chargé de cette médiation qui progresse à l’heure actuelle même si elle est difficile. Puis, deuxièmement, il y a le volet militaire qui est complexe parce qu’il y a deux tendances si je puis dire ou deux mouvements dans le Nord du Mali. D’abord le MNLA, le Mouvement national de libération de l'Azawad, dont l’objectif est l’autonomie voire la séparation d’Azawad, zone dont ils ont aujourd’hui quasiment le contrôle ; et puis, il y a Ansar Dine qui est infiltré par al-Qaïda en réalité et dont l’objectif est différent qui est d’instaurer un régime islamique sur l’ensemble du Mali et au-delà sur la zone sahélienne. Les chefs d’Etat ont donc décidé de préparer l’intervention de la force en attente de la Cédéao qui est composée de deux bataillons, à peu près 3 000 hommes. La France a indiqué qu’elle était prête à assurer la logistique de cette force de façon à stopper les combats et à rétablir l’ordre. Vous avez peut-être noté que le MNLA vient d’annoncer qu’il cessait ses opérations puisqu’il avait atteint ses objectifs. (RFI)
MNLA et ANSARDINE AVAIENT ANNONCE LEUR FUSION
Le 26 mai 2012, après trois semaines de négociations à Gao, le MNLA annonce sa fusion avec le groupe islamiste Ançar dine. Les deux mouvements annoncent être parvenus à un accord pour déclarer l'Azawad État indépendant. Ils doivent par ailleurs constituer une armée commune chargée de sécuriser le territoire pour le peuple de l'Azawad « dans toute sa diversité ». L'éventuelle soumission des peuples de l'Azawad à l'application de la charia sera incertaine, et si oui dans quels termes juridiques, politiques et sociaux, dans le cadre d'un État déclaré islamique désormais, et non plus laïc. (source)C'est quand le Qatar a mis la pression pour éjecter les terroristes narco-trafiquants du gang de Nina Wallet Intallou que le MNLA a pris une raclée militaire par MUJAO-AQMI-Ansardine alliés soudainement contre...... les femmes du MNLA......
..... qui coururent chercher CIA et DGSE tout en se réfugiant à Ouagadougou chez Blaise Compaoré le parrain régional du terrorisme...
HOLLANDE ET FEKL FAISANT PATRONAGE DU RECYCLAGE DES ASSASSINS AGUEL HOC
Sous le Haut Patronage de Monsieur François Hollande,
Président de la République Française
Le premier Forum Jeunesse et Entrepreneuriat Afrique & France
réunit décideurs publics et privés, jeunes, médias, diasporas,
entrepreneurs, start upers et entreprises, réseaux d’éducation-
formation, patronats africains et leurs parties prenantes
Afrique-France.
Hébergé au siège du MEDEF à Paris, le forum aborde sur deux
jours les grands enjeux, opportunités et actions en cours à
travers une série de plénières, conférences et keynotes. En
parallèle, des workshops sont organisés afin de favoriser le
networking et le développement de synergies entre les acteurs.
LE BUT C'EST DE'INTRONISER LA CHEF TERRORISTE
18h30 - Plénière
L’entrepreneuriat culturel : pépites d’Afrique
Artistes, designers, créateurs, artisans… Leur dynamisme est une marque de
fabrique de l’Afrique. Porteurs de traditions et d’innovation, tous connectés, ils
développent de nouveaux business models. Une richesse qui force l’exemple et
symbolise les opportunités à saisir.
Intervenants :
• Elvis Adidiema, rédacteur en chef de TRACE
• Maguette Mbow, cofondateur de L’Afrique c’est chic
• Fati Niang, présidente de Black Spoon
• Nina Wallet Intalou, ministre du Tourisme et de l’Artisanat du Mali
Animateur : Thierry Barbaut, responsable stratégie numérique pour l’ONG Agence
des Micro Projets et directeur de rédaction d’Info-Afrique.com
FEKL A BAMAKO INTRONISE SA COMPLICE CRIMINEL DE AGUEL HOC
18h15 - Keynote
Bamako, janvier 2017
Forum de la Jeunesse ; Forum économique ; 27e Sommet Afrique-France au Mali.
Etat des lieux et perspectives, la force de la relation entre la France et le continent
africain.
• Matthias Fekl, Secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, de la promotion
du Tourisme et des Français de l’étranger - France
Animateur : Elé Asu, Canal Plus
LA CHEF TERRORISTE EST "SON EXCELLENCE"
Exposition Artisanats du Mali
Tout au long du Forum AGYP, le Comité National d’Organisation du Sommet
Afrique-France (CNOSAF), en partenariat avec l’Organisation Internationale de
la Francophonie (OIF), vous accueille à la découverte de l’exposition Artisanats
du Mali, au siège de l’OIF, à 200 mètres du MEDEF au : 19-21 Avenue Bosquet,
75007 Paris.
Son Excellence Nina Walett Intallou, ministre de l’Artisanat et du Tourisme du Mali
et Abdoullah Coulibaly, président du CNOSAF, vous convient également à une
visite de l’exposition le mercredi 7 décembre 2016 à 13h00.
Dédicaces (stand AGYP powered by MEDEF)
L'ARTICLE ORIGINAL EL PAIS
Nina Wallet Intalou, la rebelde tuareg
El salón está decorado de manera austera. Una gran alfombra en el suelo, un televisor siempre sintonizado con el informativo de France24 en un rincón y un cuadro con una sura del Corán apoyado en la pared que atrae mi atención. En la esquina opuesta, hay una mujer vestida con una melfa color turquesa rodeada de un pequeño ordenador portátil y tres teléfonos móviles. Cuando me ve entrar, se levanta con una franca sonrisa, me saluda dándome la mano y me invita a sentarme. “El cuadro lo acabo de comprar, lo colgaré un día de estos”, me dice, divertida por mi curiosidad. Es Nina Wallet Intalou, la única mujer miembro del Consejo Político del Movimiento Nacional de Liberación del Azawad (MNLA), el grupo armado que el pasado 17 de enero, hace ahora casi un año, inició una revuelta que acabó por desestabilizar a todo Malí.
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Nina Wallet Intalou, miembro del Consejo Político del MNLA. / Foto: J. Naranjo
Estamos en Nuakchot, la capital de Mauritania. Hasta aquí se trasladó Intalou hace ya algunos meses con parte de su familia en busca de un poco de seguridad para ella y sus hijos, consciente de que en Bamako, donde residía, podía sufrir algún tipo de ataque. Suena uno de los teléfonos. Una de sus tareas es la de coordinar los movimientos de las unidades del MNLA que están sobre el terreno. Habla unos minutos en árabe con voz autoritaria y luego cuelga. Me mira y la sonrisa vuelve a aparecer. “Disculpa, llevamos doce horas intentando localizar al grupo de Mohamed Ag Najim” (se refiere al jefe militar del MNLA). “¿Está en el norte de Malí?”, le pregunto. “Está en el Azawad, siempre ha estado allí”, responde de manera enigmática.
Nina Wallet Intalou nació en 1963 en Kidal y es tuareg por todos los costados, miembro de la poderosa tribu de los Idnane. Implicada desde muy joven en la lucha de su pueblo por tener un estado propio, con solo 20 años se fue a Costa de Marfil para sensibilizar a otros países africanos en la causa tuareg. En Abidjan, esta licenciada en Derecho contrajo matrimonio con un rico hombre de negocios y se convirtió, a su vez, en empresaria, poniéndose al frente de una compañía de construcción con 250 asalariados. En cierta forma, Nina Wallet Intalou simboliza el potente rol que las mujeres desempeñan en la cultura tuareg. Tras divorciarse, regresó a Kidal, donde en 1997 es elegida alcaldesa. Sin embargo, nunca llegó a ocupar su puesto porque las presiones del incipiente islamismo radical que se estaba instalando en la región y que no podía consentir que una mujer ocupara un puesto de tal responsabilidad se lo impidieron.
Ya entonces percibió con total nitidez que esa suerte de yijadismo que empezaba a llegar a su región natal procedente de tierras lejanas no tenía nada que ver con su tradición o con su forma de entender la religión islámica. “Los tuaregs estamos muy apegados a nuestras costumbres y toda nuestra cultura reposa sobre la mujer, que es muy libre de hacer lo que quiera y vestir como quiera. Vivimos un Islam tolerante y abierto”, asegura.
El 17 de enero de 2011, hace un año, estalló la enésima rebelión tuareg, la última de una larga serie de levantamientos que comenzaron en la época del colonialismo francés, se repitieron en los años sesenta, tras la creación del estado de Malí, y volvieron a estallar en las dos últimas décadas. “De repente”, explica, “la generación de mis padres vio cómo llegaba gente del sur para administrar nuestra tierra, nuestros recursos y nuestra forma de vida. Y, como habían hecho sus abuelos y hacemos ahora nosotros, dijeron no y se levantaron en armas”, asegura Nina Wallet Intalou, quien no dudó ni un instante en dar un paso al frente cuando en noviembre de 2011, junto a un puñado de jefes tribales y su amigo Mohamed Ag Najim, quien formó parte del Ejército de Gadafi en Libia, participó en la creación del MNLA.
La primera ciudad en caer fue Ménaka, el 17 de enero, luego vendrían Aguelhoc, Anderamboukane, Tessalit... Sin embargo, los rebeldes no estaban solos. Un grupo armado también tuareg, pero de ideología islamista radical, aprovechó el empuje del levantamiento para situarse en el confuso escenario. Se trataba de Ansar Dine (Defensores de la Fe). Al frente, el histórico líder tuareg Iyad Ag Ghalique lideró las revueltas de los años noventa. “Yo trabajé a sus órdenes entonces. Era alguien en quien en su momento confiábamos y cuando nació el MNLA, pidió ser secretario general del movimiento. Pero la mayoría lo rechazó por su mala gestión de los acuerdos de paz de los noventa y sus vínculos cada vez más estrechos con Al Qaeda del Magreb Islámic (AQMI)”, asegura Wallet Intalou, quien añade que “los notables le pidieron que se integrara en el MNLA como un jefe militar más o que se retirara, pero él dijo que no, que iba a crear un movimiento armado propio. Así nació Ansar Dine”.
La líder tuareg insiste en que “en realidad nunca estuvimos juntos. Cada vez que tomábamos una ciudad, llegaban ellos y se instalaban. Pero les dejamos hacer, eran tuaregs como nosotros. Sin embargo, pronto nos dimos cuenta de cuál era su estrategia: llegaban a las ciudades y corrompían a la gente con el dinero de AQMI para que ingresaran en sus filas, para que les permitieran instalarse allí. Ansar Dine es la correa de transmisión de los yijadistas, es la llave que les ha permitido controlar toda la zona. Ha sido una enorme traición de Iyad Ag Ghali a su propio pueblo”.
Durante dos meses, el empuje combinado de rebeldes tuaregs y de Ansar Dine logró hacer retroceder al Ejército de Malí, que, a finales de marzo, perdió definitivamente el control sobre este vasto territorio cuando, en un solo fin de semana, cayeron las tres principales ciudades del norte del país, Kidal, Gao y Tombuctú. El Ejército maliense, desconcertado tras el golpe de estado del 21 de marzo en Bamako, huía en desbandada hacia el sur y se instalaba en las cercanías de Mopti. Pocos días después, el MNLA proclamaba de manera unilateral la independencia del Azawad. Sin embargo, las desavenencias con Ansar Dine y sus aliados terroristas de AQMI y el Movimiento por la Unicidad de la Yijad en África del Oeste (Muyao) surgieron pronto. Y Nina Wallet Intalou, que había sido nombrada responsable de la Mujer y la Familia del gobierno provisional del Azawad, volvió a dar un paso al frente.
Las mujeres tuareg empezaron a ver cómo los recién llegados pretendían aplicar una visión estrecha y radical de la ley islámica o sharia que incluía, entre otras medidas, la obligación de llevar velo o la prohibición de hablar con un desconocido por la calle, fumar o conducir una motocicleta. Y en Kidal se produjo la primera reacción. El 5 de junio de 2012, las mujeres se echaron a la calle en claro desafío a los islamistas radicales. Y estos respondieron a golpes. Nina Wallet Intalou lideró entonces, desde la distancia, la respuesta a estos actos de violencia. “Lo que ha pasado hoy en Kidal no había ocurrido nunca. Jamás habíamos visto a mujeres golpeadas como hoy porque en la cultura tuareg esto no se puede hacer, incluso si una mujer es golpeada por su marido, esto implica directamente el divorcio. Pero es peor aún, porque estas mujeres se manifestaban hoy por su libertad y los hombres las han golpeado como se golpea a los animales”, dijo entonces Intalou, quien además encabezó la corriente dentro del MNLA para que su movimiento rompiera lazos de manera definitiva con los salafistas.
No tuvo que pasar mucho tiempo. Por más que ambos grupos estuvieran formados por tuaregs, la visión independentista y laica del MNLA no podía convivir mucho tiempo con el yijadismo radical de Ansar Dine y sus socios AQMI y Muyao. A finales de junio, Gao fue el escenario de violentos enfrentamientos entre unos y otros que se saldaron con la derrota de los rebeles tuaregs que se vieron obligados a dispersarse por el norte de Malí o a huir hasta la vecina Burkina Faso. “Tenemos la voluntad y la capacidad para atacar y defendernos, pero Ansar Dine y sus aliados tienen medios y armamento más sofisticados. Se les ha unido mucha gente, egipcios, tunecinos, argelinos, chadianos, nigerianos…”, explica Intalou.
Desde julio, tras la derrota militar del MNLA, la aplicación de la sharia se ha hecho más patente: lapidación de una pareja en Aguelhoc por tener hijos sin estar casados, amputación de manos y pies por robar, latigazos por fumar, beber alcohol o adulterio y todo un entramado de prohibiciones (escuchar música, jugar al fútbol, ver la televisión, tocar a alguien de distinto sexo, etc) de las que las mujeres salen las peor paradas. “Están consiguiendo convertir el Azawad en un infierno para la mujer. Eso es lo que la comunidad internacional debe entender, que mientras no se produzca una reacción y expulsemos a todos esos yijadistas de nuestra tierra, no habrá descanso, seguiremos en lucha. Nunca nos sentaremos a negociar con esta gente, nunca”, añade.
La líder tuareg defiende que se produzca una intervención de la ONU para expulsar a los terroristas de AQMI y Muyao. “No queremos que vuelva el Ejército de Malí o una fuerza militar de la Cedeao porque van a disparar contra todo el que tenga la piel blanca, va a ser una masacre. Que lo haga la ONU, nosotros estaremos con ellos para expulsar a todos aquellos que quieren imponer una ley y una religión extraña a nuestro país. Pero luego hay que arreglar el problema tuareg, tiene que reconocerse nuestro derecho a la autodeterminación, que Malí se convierta en una federación o que se nos dé una amplia autonomía. Es lo justo”, explica.
Sin embargo, sobre los rebeldes tuaregs también recae la sospecha de abusos y actos violentos contra la población civil, tal y como aseguran recientes informes de Amnistía Internacional y Human Rights Watch. “No estamos de acuerdo con esos informes, no se han producido investigaciones sobre el terreno. No tenemos miedo de una investigación, no hemos llevado a cabo violaciones ni ejecuciones. Para hacer esos estudios han preguntado a los tuaregs que están en Bamako y casi todos están con Malí y contra nosotros, no son imparciales. Los investigadores deben ir al terreno, a Kidal, a Gao y a Tombuctú para preguntar”, se defiende.
Mientras el conflicto de Malí aguarda por una solución, Nina Wallet Intalou no descansa ni un instante desde su exilio en Nuakchot. Acaba de regresar de los campamentos de M’bera, al sur de Mauritania, donde decenas de miles de refugiados del norte de Malí esperan también poder volver a su país. “En M’bera la situación es terrible, la ayuda humanitaria llega con cuentagotas y hay familias enteras expulsadas de sus hogares con lo mínimo”. Sus opiniones son controvertidas y pertenece a un movimiento rebelde en el ojo del huracán por haber desencadenado el conflicto que hoy sacude a Malí. Pero Nina Wallet Intalou, que fue definida por un negociador maliense como “el hombre fuerte” del MNLA, no cede ni un ápice en sus posiciones, las mismas que ha defendido toda su vida. “No pararemos hasta que seamos libres en nuestra propia tierra, tanto los hombres como las mujeres, y no permitiremos que venga nadie a golpearnos, educarnos o decirnos cómo debemos vivir”.