REVACTU
14/3/2016
"Soro dit à Djibril de faire attaquer les postes frontaliers du Burkina par les barbus" [SIC]"un appel présumé d’une quinzaine de minutes entre Soro et Bassolé aurait eu lieu alors que les hommes du RSP s’étaient repliés dans leur camp de Naaba Koom, derrière la présidence, et que les unités loyalistes prenaient le contrôle de la capitale." (première source Boribana de l'écoute téléphonique de Guillaume Soro)LIRE AUSSI
MARDI 8 MARS 2016
8 mars 2016 au procès de la Honte ! La France "accusée à 100%" Sarkozy accusé ! assassins de l'hôtel Ivoire accusés ONU véhiculant les rebelles accusée !Côte d'Ivoire : Aqmi revendique l’attaque terroriste de Grand-Bassam
FRANCE24 Aqmi a revendiqué l’attentat de la station balnéaire très populaire de Grand-Bassam, en Côte d’Ivoire, qui a fait au moins 16 morts dimanche. Des ressortissants français, allemand, burkinabé, malien et camerounais figurent au nombre des tués.
Quelques heures après l’attaque de trois hôtels de bord de mer à Grand-Bassam, dimanche 13 mars, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l’assaut qui a fait au moins 16 morts, dont 14 civils et deux policiers. C'est la première fois que la Côte d'Ivoire est victime d'une attaque terroriste jihadiste de ce type.
EST-CE SORO QUI A PAYE AQMI CETTE FOIS-CI ?
OU BIEN LES 58 MILLIONS € VERSES PAR LE GENERAL PUGA AUX TERRORISTES AQMI COMPRENAIENT L'ATTAQUE DE LA CÔTE D'IVOIRE EN PLUS DE CELLE DU MALI ?
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- [Soro parlant des "barbus"] "J’ai appelé certains de nos chefs, là. […] Ils n’ont qu’à me donner le montant de leurs salaires. Je vais mettre un bonus de 15 ou 20 mille sur leur salaire. Je vais voir certains chefs ; on va cotiser et assurer ça.(...) Je veux que toi aussi tu voies, parce qu’il faut qu’on rentre dans la base, et que quand on donne aux grands chefs, ça ne descend pas forcément. (...) Donc moi, ce que je te propose, c’est que l’on regarde. D’ici quarante-huit heures, j’aurai des fonds et je peux t’envoyer quelque chose pour que toi aussi tu rentres dans la base.(...) Voilà ce que je voulais te proposer : on frappe dans une ville en haut, quelque part là-bas ; on récupère un commissariat ou bien une gendarmerie. Eux, ils vont fuir. Ils ne peuvent pas résister. Et comme on me dit que l’armée est autour de Ouagadougou, si on frappe à un bout là-bas, l’armée va vouloir se réorganiser pour y aller. Si un centimètre carré est pris, ils sont obligés d’aller se battre. Au moment où ils décollent là, on refrappe dans un autre coin. Ça va les paniquer et le RSP, lui, il sort en deux temps. Ceux de Pô avancent sur 50 km et ceux de Ouaga sortent et frappent des cibles fortes, surtout le PM. C’est-à-dire des cibles fortes !
- (...) Mais il y a quelqu’un chez vous que moi je n’aurais jamais… En tout cas, quand on va finir tout ça là, il y a deux personnes que tu dois accepter que moi je règle. Il y a Salif Diallo et un Sy.(...) Non, non, non ! Ça, je ne vais pas laisser hein ! Non, Bassolé, quand même. Ces gens-là ne peuvent pas vivre et puis vous allez être tranquilles.(...) Moi, je te le dis ! C’est-à-dire que quelle que soit, Bassolé, ta bonne volonté, tout ça là, ceux que j’ai cités ne peuvent pas être vivants et puis le Burkina va être tranquille. (...) Est-ce que tu imagines que nous, on aurait pu faire ce qu’on est en train de faire si Tagro et IB étaient vivants ? […] Tous les jours, IB allait chercher à faire coup d’État. Et vous êtes dans cette situation, Bassolé.
LES COMPLICES DE SORO A L'ATTAQUE DE GRAND BASSAM
La ficelle est trop grosse : la DGSE imagine les Ivoiriens trop naïfs pour ne pas comprendre que l'attaque jhadiste contre la ville d'Abidjan est la réponse directe à la déroute judiciaire subie par la clique esclavagiste-terroriste Franceàfric USAfric.16 morts dont 4 Français.
Il fallait bien en effet que l'Elysée sacrifie quatre concitoyens pour justifier la perpétuation de son soutien à la dictature. Comme Georges Bush, prévenu par les services secrets algériens, le 6 septembre 2001, d'une attaque terroriste sur le sol des USA, Hollande et le général Puga ont laissé faire les pantins mercenaires de leurs alliés saoudiens et qataris. Jeune Afrique révélait le 20/9/2015 "un mémo secret envoyé le 6 septembre 2001 par Smaïn lamari, numéro deux du DRS, évoque une attaque imminente de grande ampleur contre les Etats-Unis". La DGSE laisse faire les attentats comme celui du Bataclan ou les organise elle-même comme l'attaque contre le Mali prévue en 2010 avant même la chute de Kadhafi MERCREDI 21 JANVIER 2015 | Prévenus -15 jours avant par une vidéo revendiquant l'asassasinat de Chokri Belaid et Mohamed Brahmi - de l'imminence d'une attaque par le véritable chef du réseau des Buttes Chaumont Boubakeur Al Hakim, les services secrets français avaient laissé faire sans aucune réaction. Jusqu'à laisser libre Coulibaly, interpellé le 30 décembre 2014 De la même façon, le juge français avait classé sans suite l'enquête sur l'annonce de l'attaque contre le Bataclan. Un classement sans suite permettant aux assassins d'agir impunément. Un juge qu'il faudrait mettre en examen. |
SORO RECRUTAIT LES « BARBUS » AU TELEPHONE FIN SEPTEMBRE 2015
Le numéro deux du régime néonazi Franceàfric en Côte d'Ivoire est un des chefs jihadistes.L'imposture était tombée lorsque l'information avait commencé à circuler sur les réseaux sociaux : Guillaume Soro, président de l'Assemblée Nationale ivoirienne avait été surpris au téléphone avec Djibril Bassolé, le protecteur de Ansar Eddine au Burkina Faso.
Bassolé, ex-ministre de la dictature Compaoré avait logé ses protégés à moins de 5 km du palais présidentiel de Blaise Compaoré.
En janvier 2013, Iyad Ag Ghali, l'assassin psychopathe de Aguel Hoc, l'égorgeur du Nord-Mali, assassin, avec ses complices MNLA, de 82 (117) militaires maliens le 24 janvier 2012, occupait la suite de luxe de l'hôtel Laïco1. Le terroriste, du 11° étage, avait vue directe sur Kossyam, le palais de l'assassin de Thomas Sankara.
Logé par Compaoré et financé par Hollande : le terroriste assassin du Mali
MERCREDI 13 AOÛT 2014
1Iyad Ag Ghali logeait au 11° étage, un étage plus haut que celui occupé par Macky Sall lorsqu'il viendra en 2015 jouer les intermédiaires entre Diendéré et son ancien bras droit Zida.
LA FRANCE FINANCIER DE AQMI, SORO, IB, ANSARDINE, MNLA
MEME LE NOUVEL OBS RECONNAISSAIT
"LA FRANCE ET l'EUROPE FINANCENT LE TERRORISME"
Selon le "NYT", Al-Qaida et ses groupes affiliés (Aqmi, Aqpa, Al-Shabab…) ont empoché au moins 125 millions de dollars de rançons depuis 2008, dont 66 millions rien qu'en 2013. Le département du Trésor américain évoque même la somme de 165 millions de dollars sur la même période. Et, selon le quotidien, c'est la France qui a versé, via des aides au développement déguisées ou des intermédiaires (le "New York Times" cite le géant du nucléaire Areva), le plus d'argent aux djihadistes depuis 2008. Plus de 58 millions de dollars, selon les chiffres avancés, tableau à l'appui, par le quotidien, dont plus de 40 millions payés à Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) pour libérer les quatre otages au Mali l'an passé (la somme de 20 millions avait été avancée et le paiement de cette rançon démenti par le Quai d'Orsay).
Viennent ensuite la Suisse (12,4 millions), l'Espagne (5,9 millions) ou l'Autriche (3,2 millions). A noter également les 20 millions payés, pour le compte de gouvernements européens, à Al-Qaida dans la péninsule arabique (Aqpa) par le Qatar et Oman, deux pays du Golfe qui servent habituellement d'intermédiaires aux Occidentaux au Yémen.
LA RESISTANCE ACCUSE LES TERRORISTES
FRANCEàFRIC SORO ET L'ELYSEE
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Aucun résistant n'est dupe de l'hypocrisie de la France coloniale vis-à-vis de la Côte d'Ivoire.
ATTENTAT DE GRAND BASSAM & BALLET DIPLOMATIQUEMon analyseCes attentats, et toute cette agitation que nous observons...
Posté par Ozi Godo sur lundi 14 mars 2016
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Nombreux sont les résistants à incriminer le terroriste Soro.
Lisez l'analyse de ce partisan du président légitime de Côte d'ivoire Laurent Gbagbo
Attaque Jihadiste planifiee pour innocenter Soro |
LES TERRORISTES DE SORO à L'ATTAQUE LE 16 DECEMBRE 2010
JEUDI 11 FÉVRIER 2016
LE VERBATIM PUBLIE PAR JEUNE AFRIQUE
Extraits de la première conversation, diffusée le 12 novembre sur internet. La voix 1 est présentée comme étant celle de Guillaume Soro ; la voix 2 comme étant celle de Djibrill Bassolé.
Voix 1 : J’ai appelé certains de nos chefs, là. […] Ils n’ont qu’à me donner le montant de leurs salaires. Je vais mettre un bonus de 15 ou 20 mille sur leur salaire. Je vais voir certains chefs ; on va cotiser et assurer ça.
Voix 2 : D’accord.
Voix 1 : Je veux que toi aussi tu voies, parce qu’il faut qu’on rentre dans la base, et que quand on donne aux grands chefs, ça ne descend pas forcément.
Voix 2 : C’est ça, ça ne descend pas.
Voix 1 : Donc moi, ce que je te propose, c’est que l’on regarde. D’ici quarante-huit heures, j’aurai des fonds et je peux t’envoyer quelque chose pour que toi aussi tu rentres dans la base.
[…]
Voix 1 : Voilà ce que je voulais te proposer : on frappe dans une ville en haut, quelque part là-bas ; on récupère un commissariat ou bien une gendarmerie. Eux, ils vont fuir. Ils ne peuvent pas résister. Et comme on me dit que l’armée est autour de Ouagadougou, si on frappe à un bout là-bas, l’armée va vouloir se réorganiser pour y aller. Si un centimètre carré est pris, ils sont obligés d’aller se battre. Au moment où ils décollent là, on refrappe dans un autre coin. Ça va les paniquer et le RSP, lui, il sort en deux temps. Ceux de Pô avancent sur 50 km et ceux de Ouaga sortent et frappent des cibles fortes, surtout le PM. C’est-à-dire des cibles fortes !
Voix 2 : Oui, d’accord.
[…]
Voix 1 : Est-ce que tu as quelqu’un par qui je peux faire passer les moyens pour que, toi, tu… ?
Voix 2 : Absolument. Je vais t’envoyer par SMS deux contacts téléphoniques. L’un et l’autre sont des gens absolument sûrs. Il suffit d’indiquer comment ça se fait ; même s’il faut qu’ils se déplacent, ils le feront.
Voix 1 : D’accord, très bien. Donc, quant à moi, ça marche. Je suis plutôt rassuré ; c’est dur mais on va y arriver.
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Burkina : les avocats de Djibrill Bassolé se rebiffent[…]
Voix 1 : Mais il y a quelqu’un chez vous que moi je n’aurais jamais… En tout cas, quand on va finir tout ça là, il y a deux personnes que tu dois accepter que moi je règle. Il y a Salif Diallo et un Sy.
Voix 2 : Chérif.
Voix 1 : Non, non, non ! Ça, je ne vais pas laisser hein ! Non, Bassolé, quand même. Ces gens-là ne peuvent pas vivre et puis vous allez être tranquilles.
Voix 2 : Non, c’est vrai.
Voix 1 : Moi, je te le dis ! C’est-à-dire que quelle que soit, Bassolé, ta bonne volonté, tout ça là, ceux que j’ai cités ne peuvent pas être vivants et puis le Burkina va être tranquille.
Voix 2 : Ça, c’est vrai.
Voix 1 : Est-ce que tu imagines que nous, on aurait pu faire ce qu’on est en train de faire si Tagro et IB étaient vivants ? […] Tous les jours, IB allait chercher à faire coup d’État. Et vous êtes dans cette situation, Bassolé.