par Yanick Toutain
22/2/2016
Comment des distributions de tracts
#FreeGbagbo sont criminalisées
en France avec le soutien des profs agresseurs d'élèves
[Julie Amadis] "s'est entretenue avec des parents d'élèves et à été reconnue distribuant des tracts dans d'autres lieux du Havre." (acte d'accusation reprenant les faux témoignages de l'agresseur d'élève Léon Launay de l'école Valmy)
Comment des distributions de tracts
#FreeGbagbo sont criminalisées
en France avec le soutien des profs agresseurs d'élèves
[Julie Amadis] "s'est entretenue avec des parents d'élèves et à été reconnue distribuant des tracts dans d'autres lieux du Havre." (acte d'accusation reprenant les faux témoignages de l'agresseur d'élève Léon Launay de l'école Valmy)
On apprend dans le journal de propagande des profs agresseurs d'enfants, Paris-Normandie (Le Havre Libre Havre Presse) que la ministre qui donne des fessées à ses propres enfants était en visite ce lundi 22 février 2016 au Havre.
C'est même l'école Valmy qu'elle a visité. L'école où enseignait Julie Amadis, (professeur des écoles, activiste anti-violences, militante anti Franceàfric et #FreeGbagbo et doublement réprimée pour cela) jusqu'en 2014, avant sa suspension puis son exclusion 2 ans..
Le principal (faux) témoin de l'accusation Léon Launay aurait été digne de participer au Procès de la Honte contre Gbagbo : aussi menteur que ses collègues en faux témoignages.
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts.Trois faux témoignages de Léon Launay, instituteur agresseur de ses élèves depuis 20 ans.
Aucune distribution de tract n'a été faite dans ces trois endroits.
Ni des tracts #FreeGbagbo ni des tracts #HollandeDEGAGE
Julie Amadis n'a jamais mis les pieds de sa vie sur le marché d'Harfleur.
"Elle s'est entretenue avec des parents d'élèves et à été reconnue distribuant des tracts dans d'autres lieux du Havre." (acte d'accusation de Monique Béaur cf infra)Une école qui, à la rentrée 2013 s'apprêtait à faire un sitting contre les enfants Roumains de l'école... Une école dont le directeur, responsable informatique, passait ses journées à glander au lieu de lancer quelque projet que ce soit !
UNE ECOLE VALMY RACISTE ET RETROGRADE DEVENUE INNOVATRICE PAR LA MAGIE DE LA PROPAGANDE GOUVERNEMENTALE
Le prétexte de la venue de la ministre- le soutien à la prétendue "machine à lire" de Bentolila administrateur propagandiste de la SNCF (une simple application donnant lecture d'un texte) - ne camoufle en rien la véritable raison de sa venue : Belkacem est venu affirmer son soutien au réseau OMERTA76 des profs agresseurs d'enfants: le réseau qui, à la suite des agressions de 2008, avait organisé une provocation contre l'activiste anti-Franceàfric anti-violences à enfants Julie Amadis. Provocation débouchant sur deux ans d'exclusion de la prof anti-fessées.
Personne n'est dupe sur les raisons de cette visite chez un maire - Edouard Philippe - qui soutient une ATSEM auteur de ces fessées de 2008 et la directrice de l'école Varlin elle-même agresseuse d'un autre enfant.
Ce réseau OMERTA76 des profs agresseurs et de leurs soutiens (avocats, politiciens, policiers agresseurs etc....) avait entraîné en 1998 une grève de ..... soutien à un prof agresseur
Mardi, on manifestait à Rouen. «C'est la première manifestation de ma vie: je proteste contre l'injustice et la disproportion d'une sanction.» Corinne Leroy, 34 ans, défilait avec 2 500 parents d'élèves, enseignants, enfants et retraités de l'Education nationale. «Je ne suis ni militante ni syndicaliste, mais maman d'une élève qui a toujours trouvé cet instituteur admirable.» François Giffard, l'instituteur pour lequel près de 90% des écoles préélémentaires et élémentaires de Seine-Maritime ont observé la grève le même jour, était là, entre deux banderoles. Menacé de trois ans de prison, de 300 000 francs d'amende et d'une radiation de l'Education nationale.Mais en Seine-Maritime ce sont les anti-violences qui sont persécutés !
Ce prof violent avait eu le SOUTIEN du procureur de Rouen à l'époque !
Un procureur qui appelait à OBLIGER les instituteurs à TAPER LEURS ELEVES !
Nul doute que la ministre est au Havre pour concevoir avec ses complices de l'Inspection Académique de nouvelles provocations contre Julie Amadis et les profs victimes de ce réseau.
En effet, cela fait, depuis juillet 2014, 19 mois que cette enseignante dévouée est condamnée à vivre dans 13m² avec un RSA humanitaire. Interdite d'enseigner et sans toucher aucun chômage !
Nul doute que la ministre est au Havre pour organiser les persécutions contre l'enseignante de l'école des Acacias, victime de l'inspecteur Patrick Deplanque et qui avait fait une tentative de suicide dans les locaux de l'inspection académique.(drame que les médias locaux au service d'OMERTA76 avaient soigneusement camouflé)
Ce réseau terrorise des parents d'élèves témoins de violences, des personnes municipaux menacés pour avoir été témoins de violences (en particulier à l'école Valmy du Havre).
Belkacem est au Havre pour marquer son soutien aux agresseurs !
Les parents soucieux de protéger leurs enfants des agressions - à l'école ou à la maison - regarderont avec ahurissement cette vidéo.
JEAN-JACQUES BOURDIN"vous avez déjà donné une fessée ? "
NAJAT VALLAUD-BELKACEM :"Oui ! (...) Oui ! Ca m'est déjà arrivé.[Elle éclate de rire !!! ] (...) Mais je l'ai regretté aussitôt après ! (...) Oui ! Mais… (...) Je pense que je suis comme tous les parents. "
JEAN-JACQUES BOURDIN"est-ce que vous êtes favorable à l'interdiction de la fessée ?"NAJAT VALLAUD-BELKACEM"Honnêtement ma position n'est pas faite sur ce sujet ! Je… (...) 'évidemment je suis opposée aux châtiments corporels dès lors qu'ils portent atteinte à la dignité… (...) "
NAJAT VALLAUD-BELKACEM"Est-ce qu'il faut l'interdire par la loi ? C'est justement là que j'ai un petit doute, est-ce que c'est à la loi de se mêler de ça ? Non !"JEAN-JACQUES BOURDIN"Non. C'est interdit dans 18 pays d'Europe, j'ai vu, hein ?"NAJAT VALLAUD-BELKACEM"C'est vrai ! C'est vrai, c'est vrai. (...) Je dis que ce n'est pas évident en tout cas."