par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
29/8/2015
[Quatorze] ans après l’entrée en vigueur d’une loi qui fait du bizutage un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (sous l’impulsion de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’Enseignement scolaire) les brimades et épreuves humiliantes n’ont pas totalement disparu.
(extrait de l'étudiant septembre 2014
13 ans sont devenus 14 ans
(extrait de l'étudiant septembre 2014
13 ans sont devenus 14 ans
Pour une France qui autorise Bolloré à payer des salaires esclavagistes de 50 euros par mois il faut sélectionner de parfaits abrutis dominants comme leaders humiliants de ses "élites" formoises. Pratiquer un bizutage méritant 6 mois de prison et 7500€ d'amende est une technique qui leur annonce à l'avance l'impunité et le soutien des juges voyous.
Cet article est écrit 3/4 plus tard. Je viens en effet de croiser sur un banc des jardins de l'hôtel de ville quelqu'un "de niveau CAP" qui aurait largement mérité de se trouver à la place des pauvres imbéciles que j'avais croisé à 17h sans le square St Roch.
Misérables imbéciles humiliant plus faibles qu'eux avec des ricanements évoquants la fin du film "Les Visiteurs".
Les plus stupides couraient derrière leurs victimes en les aspergeant de farine blanche.... avec des ricanements lamentables : les futures "élites" de la France impérialiste.
Les bizutages sont interdits mais... tellement pratiques pour la bankoslavoisie..... les mêmes traditions que les criminels militaires adoraient quand je faisais mon service militaire à Epernay, au 34° régiment du Génie....
Par chance, dans la compagnie de transmission où je me trouvais, le niveau de recrutement post-bac minorisait totalement les adorateurs du harcèlement moral, les spécialistes de l'humaliation institutionnelle.
Les bizutages sont interdits..... mais les délits sont autorisés par le maire Edouard Philippe.
Avec ce maire, on peut donner des fessées à l'école maternelle Varlin, on peut taper les élèves à l'école Valmy, on peut réprimer les témoins de violences à enfants...... la police du Havre vient même sur le parvis de cette école faire la propagande des agressions d'enfants.....
La police du Havre ne poursuit pas les terroristes, les apologistes de la crucifixion des laïcards, les agents du Qatar terroriste... la police du Havre, la BAC persécute, interpelle, conduit au poste..... les témoins de violences.....
Les bizutages sont interdits..... mais "Science Po Paris" - les délinquants bizuteurs se présentent étrangement sous ce vocable - a le droit d'organiser des séances d'enfarinage agressif au square St Roch - sur les pelouses pleines de merdes des bourgeoises électrices du maire Edouard Philippe.
Le bizutage a beau être un délit depuis plus de 10 ans, il existe encore ! Témoignages d'étudiants choqués ou amusés
Pour accueillir les « petits nouveaux », il y a aujourd’hui le « week-end d’intégration » ou la « soirée de cohésion ». Mais derrière ces rassurants vocables, beaucoup d’étudiants se demandent, en cette rentrée, s’il s'agit d'une intégration ou désintégration...
Treize ans après l’entrée en vigueur d’une loi qui fait du bizutage un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (sous l’impulsion de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’Enseignement scolaire) les brimades et épreuves humiliantes n’ont pas totalement disparu. Dans certaines écoles de commerce ou d’ingénieurs, dans les facs de médecine ou de pharmacie, voire classes prépas, certaines habitudes ont la vie dure. Une situation « inacceptable » que dénonce chaque année à la rentrée le Comité national contre le bizutage (CNCB).
Treize ans après l’entrée en vigueur d’une loi qui fait du bizutage un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (sous l’impulsion de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’Enseignement scolaire) les brimades et épreuves humiliantes n’ont pas totalement disparu. Dans certaines écoles de commerce ou d’ingénieurs, dans les facs de médecine ou de pharmacie, voire classes prépas, certaines habitudes ont la vie dure. Une situation « inacceptable » que dénonce chaque année à la rentrée le Comité national contre le bizutage (CNCB).
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Pour une France qui autorise Bolloré à payer des salaires esclavagistes de 50 euros par mois il faut sélectionner de parfaits abrutis dominants comme leaders humiliants de ses "élites" formoises. Pratiquer un bizutage méritant 6 mois de prison et 7500€ d'amende est une technique qui leur annonce à l'avance l'impunité et le soutien des juges voyous.