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L'article 222-13 du Code Pénal interdit formellement les fessées, les claques et les punit de 5 ans de prison si elles sont "légères" Le Conseil de l'Europe réclame un texte qui existe déjà !

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Une ATSEM de l'école maternelle
Varlin au Havre a battu un enfant
En 2008. Le maire Antoine Rufenacht
 l'a laissée en poste.
Comme l'a fait Edouard Philippe
Deux barbares que nos juges
révolutionnaires condamneront

par Yanick Toutain
21/5/2015
"
"J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves."
extrait de la lettre de Julie Amadis à la Rectrice Claude Schmidt-Lainé
Ce courrier lui valu une sanction : un avertissemert
Qui fut suivi d'une exclusion pour deux ans



"Quand Julie Amadis a été convoquée par Monique Béaur, adjointe de l'Inspecteur d'Académie de Rouen Philippe Carrière elle a reçu un avertissement de cette barbare qui rigolait de la mention du Conseil de l'Europe"


NI LA RECTRICE
 NI L'ADJOINTE MONIQUE BEAUR
 NI LE DASEN PHILIPPE CARRIÈRE
 NI L'INSPECTEUR D'ACADÉMIE DU HAVRE SERGE TILLMANN
 NE DEMANDÈRENT à JULIE AMADIS
 LE NOM DES ECOLES OU
ONT ETE COMMISES DES VIOLENCES A ENFANTS
 DEPUIS 2008.
ILS NE VEULENT PAS SAVOIR LA VÉRITÉ



Est-ce que le Conseil de l'Europe déraille ?

La sanction est tombée. Le Conseil de l’Europe – l’organisme européen de défense des droits de l’homme – estime, dans une décision rendue publique mercredi 4 mars, que le droit français « ne prévoit pas d’interdiction suffisamment claire, contraignante et précise des châtiments corporels »De ce fait, elle viole l’article 17 de la Charte européenne des droits sociaux dont elle est signataire, qui précise que les Etats parties doivent « protéger les enfants et les adolescents contre la négligence, la violence ou l’exploitation ».
Aucune amende n’est prévue, mais le symbole est important. Le Conseil de l’Europe attend que les Etats condamnés mettent leur législation en conformité. Cette décision ouvrirait par ailleurs la voie à une condamnation par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), selon les associations qui mènent campagne pour l’interdiction de la fessée. « Des plaintes seront déposées », prévient Gilles Lazimi, médecin et coordonnateur de la campagne contre les violences éducatives de la Fondation pour l’enfance.
Le Monde

Est-ce que les anti-fessées sont des analphabètes ?
Ou comme Edwige Antier - qui sait très bien qu'elle ment - des hypocrites ?
L'article 222-13 du Code Pénal ne souffre aucune interprétation

Article 222-13
Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises :
1° Sur un mineur de quinze ans ;

2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur.
(...)
Les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie au premier alinéa est commise sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur. Les peines sont également portées à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours, est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances.


Au lieu de militer pour que les juges voyous cessent de boycotter l'article 222-13, de militer pour DEGAGER les procureur Nachbar qui persécutent les témoins de violences à enfants, les Recteurs et les Inspecteurs d'Académie comme ceux de Rouen ou de Nantes qui protègent les délinquants, voici qu'on nous invente une inexistence de la loi !!

Abolir la fessée, c’est une étape vers plus de démocratie

La France s’est fait rappeler à l’ordre le 4 mars par le Conseil de l’Europe, qui a considéré «qu’aucun des textes mentionnés par le gouvernement français n’énonce l’interdiction expresse et complète de toutes les formes de châtiments corporels infligés aux enfants» et qu’«une certaine ambiguïté subsiste quant à l’existence d’un "droit de correction" reconnu par la justice». Le droit français est ainsi en violation de la charte sociale européenne révisée.
Absurde ! C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
Méconnaissance des droits de l’enfant.
Méconnaissance .... de l'article 222-13 !  C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
 La décision du Comité a suscité de nombreuses protestations. Certains revendiquent le droit des parents à donner les châtiments corporels, nommés génériquement par le terme la fessée, ou prétendent que la fessée n’est pas nocive. «Je conteste au Conseil de l’Europe le droit de me dire ce que je dois faire avec mes enfants» (un homme politique). D’autres, en positions d’experts, désapprouvent la fessée mais disent que «prôner une loi est une absurdité sans nom, et affaiblit le rôle du parent»
Elle existe déjà ! C'est 5 ans de prison pour les parents agresseurs !
Pour la secrétaire d’Etat à la famille, une loi n’est pas nécessaire, mais il faudrait faire la promotion d’une éducation sans violence. Quelques personnalités, dont la pédiatre Edwige Antier et le député Europe-Ecologie-les Verts (EE-LV) François-Michel Lambert, ont approuvé la décision du Comité européen. Les protestations témoignent d’une méconnaissance des droits de l’enfant, des textes internationaux et des études scientifiques.
Mais ces gens camouflent l'article 222-13...
Sans doute le trouvent-ils trop.... sévère !!!
Rappelons qu’en 2009, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU, dans son observation faite à la France, notait «une nouvelle fois avec préoccupation que les châtiments corporels, en particulier à la maison, mais aussi à l’école, restent très répandus, notamment dans les départements et territoires d’outre-mer». Il recommandait de nouveau à la France d’interdire explicitement les châtiments corporels dans tous les contextes, et de promouvoir le principe d’une éducation sans violence. La France s’est bornée à répondre que le code pénal interdisait les violences légères sur l’enfant, sans reconnaître le problème posé par la jurisprudence légitimant le droit de correction.
Le BOYCOTT d'une loi ce n'est pas une JURISPRUDENCE, c'est un comportement DELICTUEL !
Les effets des châtiments corporels. Plus de 150 études en ont montré les effets nocifs à court et à long terme. Ils augmentent le risque de survenue de mauvais traitements, la fréquence et la sévérité des troubles mentaux, de l’anxiété, de la dépression, de l’usage d’alcool et de médicaments, et sont associés à un moins bon développement cognitif. On observe uneassociation linéaire entre la fréquence de la gifle et de la fessée et la prévalence sur la vie des troubles anxieux, de l’alcoolisme et des problèmes de comportement et de violence conjugale chez l’adulte. Il n’y a donc pas de différence qualitative entre «mauvais traitements» et «fessée».
C''est ce que dit la loi puisqu'elle punit de 5 ans de prison les "violences légères" commises par les parents !
A contrario, l’arrêt des châtiments corporels a des effets positifs. En Suède, une quinzaine d’années après la loi les interdisant et apportant un soutien aux parents, aucun enfant ne serait plus mort des suites de violence familiale, le nombre de procès pour maltraitance d’enfants a diminué, ainsi que le pourcentage de jeunes condamnés pour vol (-20%), pour viol (-48%) et la fréquence des suicides (-20%). Et les parents suédois ne sont pas devenus plus permissifs. L’interdiction des châtiments corporels constitueune prévention efficace des violences graves envers l’enfant.
Pourquoi mentir alors ?
Pourquoi ne pas réclamer l'application de la loi ?
Et pourquoi ne pas dénoncer la ministre qui tape ses propres enfants ?

JEAN-JACQUES BOURDIN"vous avez déjà donné une fessée ? " 
NAJAT VALLAUD-BELKACEM :
"Oui ! (...) Oui ! Ca m'est déjà arrivé. (...) Mais je l'ai regretté aussitôt après ! (...) Oui ! Mais… (...) Je pense que je suis comme tous les parents. "
JEAN-JACQUES BOURDIN
 "est-ce que vous êtes favorable à l'interdiction de la fessée ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Honnêtement ma position n'est pas faite sur ce sujet ! Je… (...) 'évidemment je suis opposée aux châtiments corporels dès lors qu'ils portent atteinte à la dignité…  (...) "
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Est-ce qu'il faut l'interdire par la loi ? C'est justement là que j'ai un petit doute, est-ce que c'est à la loi de se mêler de ça ? Non !"
JEAN-JACQUES BOURDIN
"Non. C'est interdit dans 18 pays d'Europe, j'ai vu, hein ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"C'est vrai ! C'est vrai, c'est vrai.  (...) Je dis que ce n'est pas évident en tout cas."

MERCREDI 21 MAI 2014

La ministre Najat Vallaud-Belkacem qui donne des fessées à ses enfants de 5 ans milite pour empêcher une loi interdisant ces actes barbares ! C'est une agresseuse d'enfants qui est ministre des femmes ... et des enfants ! 




"Oui, j'ai déjà donné une fessée [à l'un de mes enfants]. Et à chaque fois, je l'ai regretté. (interview par Jean-Jacques Bourdin ce mercredi 21/5/14)


Sur le plan anthropologique, les châtiments corporels de l’enfant sont associés à la stratification sociale en plusieurs classes ou castes, à une structure de pouvoir autoritaire, à la violence envers les femmes, et à la fréquence de la guerre et de l’homicide.
Quant à l’action publique, une étude effectuée en 2007 dans cinq pays européens ayant soit interdit les châtiments corporels avec une campagne d’information (Suède et Allemagne), soit interdit sans campagne d’information (Autriche), soit fait une campagne d’information sans interdiction (Espagne), soit fait ni l’un ni l’autre (France) a montré que l’interdiction et l’information doivent être associées pour modifier les comportements parentaux, et sont alors efficaces. La simple promotion de l’éducation sans violence n’a donc pas montré son efficacité.
Mensonge pur et simple : l'ex-procureur du Havre en 2008 m'avait fait interroger par ses flics pour un article anti-violences à enfants
En France, ceux qui comme Julie Amadis sont témoins de violences dans les écoles sont persécutés !

141° jour d'exclusion d'une prof des écoles pour avoir dénoncé des violences à enfants


mardi 20 mai 2014


Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)

Claudine Schmidt-Lainé comme Philippe Carrière
 aura des comptes à rendre à la vraie justice
 pour sa protection aux enseignants
 agresseurs d'enfants
C'est plusieurs mois après ce courrier de novembre 2013 que les délégués élus des parents de l'école Valmy informèrent Julie Amadis qu'il existait un instituteur professeur des écoles qui tapait 3 enfants cette année. Puis que d'autres témoignages d'adultes montrèrent que ces violences étaient une pratique datant de plus de... 20 ans !L'enseignante suspendue pour..... témoignage comprit alors l'origine du harcèlement qu'elle subissait depuis septembre 2013.

UNE RECTRICE PROTECTRICE
DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS D'ENFANTS

(...)
Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis




Le parallèle avec les violences envers les femmes. La violence du propos«une fessée n’a jamais fait de mal à un enfant» apparaît quand on la transpose aux femmes. Qui oserait dire qu’«une gifle n’a jamais fait de mal à une femme» ? On accepte qu’un parent inflige à un enfant vulnérable et dépendant une violence qu’on ne tolère plus envers une adulte, surtout depuis la reconnaissance des violences conjugales commencée dans les années 70.
De nombreux lecteurs qui se renseignent sur Google sur comment fesser des femmes ont la surprise de tomber sur mon article


Comment inclure les claques et la fessée dans l'éducation d'une femme (un article dont il faut d'urgence lire l'original)

"si vous châtiez votre femme tout en restant aimant et juste,
vous ne devriez pas vous préoccuper des témoins
 et de ce qu'ils pourraient penser." (étape 2)
un article présenté (et un peu modifié
 pour des raisons pédagogiques)
par Yanick Toutain


"Etape 6 D'abord, calmez-vous.
Si vous êtes en colère, n'essayez pas
 de donner une correction à votre femme.
 Dites-lui que vous allez y réfléchir
 un certain temps et donnez-vous
 le temps de vous calmer
pour ensuite réévaluer la situation."
illustration provenant du texte original
prohibant l'utilisation d'accessoires
pour la fessée.
"Etape 10 Donnez-lui un avertissement.
 Si vous pensez ne pas avoir
 été assez clair dans un premier temps,
 vous pourriez vous expliquer,
mais ne donnez pas un avertissement après l'autre
et vous attendre à ce que la femme soit conciliante.
Elles savent toujours comment faire pour vous avoir à l'usure
une fois que vous avez cédé.
 La femme doit parfaitement comprendre
 qu'il n'y aura qu'un avertissement, un point c'est tout.
 Si vous procédez ainsi, elles obéiront après le premier avertissement
et si vous leur donnez dix avertissements,
elles ne vous prendront probablement jamais au sérieux".
(...) vous devez vraiment faire très attention
 quand vous corrigez votre femme ;
soyez juste, soyez clair et assurez-vous
 de bien comprendre ce qui se passe ;
vous ne devriez pas changer d'avis
une fois que vous avez décrété : « cette fessée, tu l'as bien méritée ».


Voici une version à peine modifiée (seuls deux mots ont été modifiés) du texte original. Ce texte est tel qu'il aurait pu circuler dans les années 50-60.... si Internet avait existé
Les signatures du texte original sont les suivantes : "Modifiée par WikiHow Traduction, Chmuller, Team FR et 1 autre

"
AVERTISSEMENT : LES AUTEURS DE L'ARTICLE ORIGINEL ET CEUX QUI DIFFUSERAIENT DE TELS CONSEILS SONT ET SERONT PASSIBLES DE POURSUITE PENALES. L'article 222-13 ne restera pas longtemps un objet de musée pour juges poussiéreux rampant sur (pour et avec) des parquets barbares !


Une relation de propriété. Ajoutons que le droit de correction parentale autorise le parent à faire un acte violent sur son enfant, mais pas sur un enfant qui ne serait pas le sien : le code pénal s’applique alors. La suspension du droit général à l’intérieur de la famille traduit donc une relation de propriété sur l’enfant, comme naguère sur l’épouse, le domestique ou l’esclave. Le long processus démocratique commencé à la fin du XVIIIe siècle avec l’interdiction des supplices et des châtiments corporels de l’adulte a ensuite protégé les épouses à la fin du XXe siècle, et doit désormais entièrement protéger les enfants. Comme l’ont déjà fait plus de vingt pays européens. La prochaine audition de la France au Comité des droits de l’enfant de l’ONU est prévue en janvier 2016.
Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, université Paris Descartes, chef de service de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l’hôpital Cochin
Un article sur le sujet va paraître dans la revue «l’Autre, Cliniques, Cultures et Sociétés», www.revuelautre.com
Marie-Rose MORO Professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, université Paris Descartes, chef de service de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l'hôpital CochinTHIERRY BAUBET Professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, université Paris-XIII Sorbonne Paris-Cité et DANIEL DELANOË Psychiatre, anthropologue, université Paris-XIII Sorbonne Paris-Cité


Ces gens, au lieu de réclamer une loi qui existe déjà, feraient mieux
1° De faire connaître l'article 222-13 au lieu de le camoufler
2° De faire campagne en faveur des profs et éducateurs qui sont réprimés pour avoir fait des signalements de violences
3° De dénoncer publiquement tous les hauts-fonctionnaires, juges, procureurs qui, au mépris de la loi, protègent les agresseurs
4° De dénoncer parmi ceux-là ceux qui ajoutent le harcèlement, les menaces et les sanctions dans le but de protéger ces agresseurs.

Après la visite menaçante de l'inspecteur Patrick Deplanque - qui protégeait les deux agresseuses de 2008 de l'école Varlin, Julie Amadis avait écrit à la Rectrice




Quand Julie Amadis a été convoquée par Monique Béaur, adjointe de l'Inspecteur d'Académie de Rouen Philippe Carrière elle a reçu un avertissement de cette barbare qui rigolait de la mention du Conseil de l'Europe



Gaëlle Dupont 


journaliste au Monde
n'a JAMAIS écrit d'article sur la répression subie par Julie Amadis

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