Le terroriste islamofasciste Iyad Ag Ghali et son complice Djibril Bassolé envoyé par Blaise Compaoré |
par Yanick Toutain
19/3/2015
"Plusieurs personnalités de renom issues de la haute hiérarchie militaire, du gratin politique et du milieu des affaires défilent en longueur de journée. Djibril Bassolé, Francois Campaoré, Djenderé, Moustapha Chafi, le milliardaire Lancine Diawara le côtoient et le protègent. Chouchouté et cadeauté par l'entourage présidentiel immédiat, [le criminel terroriste islamofasciste] Iyad Ag Ghali est une pièce maîtresse du leadership du chef de l'état, Blaise Campaoré"
Aguel Hoc 82 militaires maliens assassinés : les victimes du protégé de Djibril Bassolé |
Un grand débat agit le marigot les larbins Franceàfric de la bourgeoisie esclavagiste : le militaire Djibril Bassolé peut-il être le candidat du système pour succéder à l'assassin Blaise Compaoré.
Adama Kiéma, coordonnateur du Comité des structures et associations pour la candidature de Djibrill Bassolé à la présidentielle de 2015, est contre l’exclusion des militaires de la politique. Et plus précisément contre les critiques sur la récente mise en disponibilité du Général Bassolé, qui s’apprête à prétendre au fauteuil présidentiel burkinabè.Naturellement, les véritables débats sont camouflés : le fait que ce sont les CDR qui sont les seuls organes légitimes après la chute de la dictature, le fait que la constitution Rectification de 1991 pleine du sang de Thomas Sankara est à jeter aux poubelles de Histoire pendant que ses auteurs devraient croupir en prison, le fait que seul un CNR avec des délégués révocables devraient gouverner le Burkina Faso.
On est loin des états d'âme des gredins du sytème Compaoré.
Mais c'est un autre débat qui est occculté : le fait que Djibril Bassolé fut, depuis 2012 le principal organisateur et protecteur des criminels terroristes du Mali. A commencer par Iyad Ag Ghali.
Djibril Bassolé figurait en janvier 2013 dans la liste des invités de l'assassin :
Selon une source autorisée, jointe par Les Afriques, Iyad Ag Ghali, (... ) Mollah de Kidal, 54 ans, patriarche respecté, à la fois craint et adulé par la communauté des Ifoghas où sa voix est prépondérante, vit dans une suite de luxe du 11 ème étage de l'hôtel Laico, un des bijoux du défunt guide libyen, Mouammar Khadaffi. (Les Afriques 16/1/2013)Rappelons que Iyad Ag Ghali et son groupe Ansar Eddine sont les assassins du 24 janvier 2012. Les criminels associés aux narco-terroristes du MNLA qui assassinèrent 82 militaires maliens à Aguel Hoc.
C'est ce criminel à qui Compaoré offrit protection et refuge à Ouagadougou.
On vit là la preuve que Sarkozy puis Hollande étaient les maitres d'oeuvre des activités terroristes au Nord-Mali.
S'empressaient autour de l'assassin tous les pantins de la Franceàfric, au 11° étage de l'hôtel Laïco.
Ces visites se deroulaient fin 2012 début 2013 et faisaient suite aux affrontements armés entre les criminels du MUJAO et de Ansar Eddine. Affrontements entre gredins qui succédèrent aux affrontements entre complices du MNLA et de Ansar Eddine.
"C’est là qu’il {Iyad Ag Ghali] reçoit et consulte. Plusieurs personnalités de renom issues de la haute hiérarchie militaire, du gratin politique et du milieu des affaires défilent en longueur de journée. Djibril Bassolé, Francois Campaoré, Djenderé, Moustapha Chafi, le milliardaire Lancine Diawara le côtoient et le protègent. Chouchouté et cadeauté par l'entourage présidentiel immédiat, Iyad Ag Ghali est une pièce maîtresse du leadership du chef de l'état, Blaise Campaoré dans la géopolitique du no man 's land sahélien. Qui le tient, contrôle la nomenclature des chefs de guerre du Nord Mali. C'est le prix à payer, car tout le monde devra s'y accommoder. L'homme fort de Ouagadougou l'a si bien compris en devenant le tuteur attitré aux petits soins de celui qui est par ailleurs très écouté à Doha et à Riyad. " (Les Afriques 16/1/2013)
En Août 2012, Jeune Afrique - sans utiliser le vocabulaire adéquat contre ces narco-terroristes et leurs protecteurs de l'Elysée, de l'ONU et du régime Compaoré relatait la visite de Bassolé à son complice et protégé Iyad Ag Ghali
[Djibril Bassolé] s'est surtout entretenu en tête à tête avec Iyad Ag Ghali, le leader d'Ansar Eddine, qui, il y a peu, voulait instaurer la charia. Le ministre lui a demandé de rompre avec Al-Qaïda, de respecter les droits de l'homme et de participer au processus de sortie de criseVoici comment se déroulait le 7 août 2012 la prétendue lutte anti-terroriste ! On y voit des assassins et leurs protecteurs négocier tranquillement.
L'auteur de 82 crimes était traité par Djibril Bassolé en 2012 comme un individu fréquentable.
Djibril Bassolé rencontre Iyad Ag Ghaly (G.), le 7 août, à Kidal, au Nord-Mali. © Romaric Hien/AFPLe ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé, s'est rendu dans le Nord-Mali, le 7 août. Objectif : rallier les rebelles d'Ansar Eddine à une solution pacifique. Pas gagné...
Est-ce la visite de la dernière chance ? En se rendant dans le Nord-Mali, le 7 août, le médiateur de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a en tout cas privilégié une solution politique à la crise. Préparée depuis plusieurs semaines par Moustapha Chafi et Gilbert Diendéré, conseillers du président burkinabè, cette visite a débuté à Gao. Arrivé tôt par avion militaire, Djibrill Bassolé a été accueilli par les hommes du Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), qui contrôlent la ville depuis qu'ils en ont chassé le Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA). Le ministre burkinabè des Affaires étrangères s'est d'abord rendu à l'hôpital pour faire le point sur la situation sanitaire et sociale, puis a rencontré les différents représentants des communautés de la ville (Touaregs, Songhaïs, Arabes...) et de la société civile. Au menu des discussions : les difficultés des populations et les conditions de vie imposées par le Mujao.
Rompre avec Al-QaïdaEn fin de matinée, le médiateur s'est envolé pour Kidal, à 350 km au nord. Dans cet ancien fort colonial occupé par les islamistes d'Ansar Eddine, il a rencontré des notables comme le chef traditionnel de l'Adrar des Ifoghas, le vieil Intalla Ag Attaher. Il s'est surtout entretenu en tête à tête avec Iyad Ag Ghali, le leader d'Ansar Eddine, qui, il y a peu, voulait instaurer la charia. Le ministre lui a demandé de rompre avec Al-Qaïda, de respecter les droits de l'homme et de participer au processus de sortie de crise. Auront probablement été abordées les conditions de son ralliement à une issue pacifique. Différentes solutions sont à l'étude : s'il n'est pas question d'indépendance pour le Nord-Mali, l'autonomie et la régionalisation peuvent faire l'objet de discussions. Cette tournée n'empêche pas la Cedeao de peaufiner les préparatifs de la mise en place d'une force d'intervention africaine de plus de 3 300 hommes, qui pourrait recevoir le soutien logistique des Occidentaux dans le cadre d'une résolution des Nations unies. Si tu veux la paix, prépare la guerre...
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Mais nous savons depuis janvier 2015 avec des preuves que l'attaque de janvier 2012 avait été un complot organisé Sarkozy et les services secrets français.
Aveux d'un dirigeant du MNLA
"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. (...) Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique."
Quant à l'assassin du 24 janvier, il a maintenant une école de jeunes terroristes près de Kidal. Sous protection de l'armée de Hollande et de la MINUSMA !
Les enfants élèves de l'école Hollande-Ag Ghali vont apprendre eux-aussi à assassiner comme leur professeur le fit le 24 janvier 2012 à Aguel Hoc |
VENDREDI 20 FÉVRIER 2015
20M€ Hollande finance une école d'enfants terroristes au Mali "Nous formons ici les petits combattants du jihad" clame Iyad Ag Ghali l'assassin des 82 militaires maliens de Aguel Hoc le 24/1/2012
COMPLEMENT
UN WIKIPEDIA BIEN COMPLAISANT POUR LE COMPLICE DE TOUS LES CRIMES DE COMPAORE
Général de Gendarmerie Djibrill Bassolé (né le 30 novembre 1957 à Nouna, Burkina Faso) est un homme politique burkinabè. Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale du Burkina Faso depuis le11 juin 2007.
Il est du 11 janvier 1999 au 12 janvier 2000, vice-ministre de la Sécurité, il en devient titulaire le 12 novembre2000 jusqu'à sa nomination aux Affaires étrangères le 11 juin 2007. Promu général de gendarmerie en avril 2014.