REVACTU
17/2/15
"Al-Qaida, littéralement «la base de données", était à l'origine le fichier informatique des milliers de moudjahidines qui ont été recrutés et formés avec l'aide de la CIA pour vaincre les Russes."
Robin Cook Guardian Friday 8 July 2005
Jugez de mon étonnement, quand après avoir passé plus de dix ans au contact d’une partie des différentes branches du terrorisme islamique, je découvre que les « cols blancs » de la CIA ou du FBI, ceux qu’on ne voit jamais sur le terrain, nous affirment doctement que le terrorisme islamiste est le fait d’une seule armée de l’ombre, dûment organisée et centralisée, sous le commandement d’un chef emblématique barbu comme un imam de banlieue des années 80, Usama bin Lâdin, et que cette armée s’appelle AlQâeida. (Pierre-Henri Bunel)
Le ministère de l'Intérieur tunisien a retrouvé, indique-t-on de bonne source, la trace du passage des frères Kouachi à la frontière tunisienne en 2011. Ils rejoignaient alors leur mentor à Tunis, Boubakeur Al-Hakim, aujourd'hui réfugié en Syrie où il se revendique de l'État islamique. À l'époque, les services de police tunisiens largement infiltrés par les islamistes d'Ennahdha n'avaient pas suivi leur piste. (Mondafrique)
2 mois après que le terroriste chef du réseau des Buttes Chaumont - Boubakeur Al Hakim - ait mis en ligne une vidéo revendiquant l'assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Chokri - deux leaders de la gauche anti-islamofasciste tunisienne - un crime protégé par Ennahdha et ses réseaux, un crime commandité par la Franceàfric terroriste, les médias français continuent de nous baratiner sur la piste du Yemen. Alors que cette vidéo était le probable signal pour leurs complices on continue à nous mener en bateau !
Comme si nous étions encore dupe du fait que les terroristes sont protégés et financés par les services secrets occidentaux.
Il écrivait cela le 8 juillet 2005 dans le Guardian. Robin Cook est mort 29 jours plus tard, le 6 août 2005. Il ne redevint pas ministre de Tony Blair mais un cadavre silencieux.
"Bin Laden was, though, a product of a monumental miscalculation by western security agencies. Throughout the 80s he was armed by the CIA and funded by the Saudis to wage jihad against the Russian occupation of Afghanistan. Al-Qaida, literally "the database", was originally the computer file of the thousands of mujahideen who were recruited and trained with help from the CIA to defeat the Russians. Ben Laden fut le produit d'une erreur de calcul monumentale de la part des agences de renseignements occidentales. Tout au long des années 80 , il fut armé par la CIA et financé par l'Arabie saoudite pour porter le jihad contre l'occupation russe en Afghanistan. Al-Qaida, qui signifie littéralement la "base de données", était originellement les fichiers informatiques regroupant les milliers de moujahidines recrutés et formés par la CIA pour vaincre les Russes.
Le militaire français (condamné à 2 ans ferme de prison pour trahison en faveur du peuple serbe) Pierre-Henri Bunel est lui, toujours vivant.
Il se félicite même sur son blog de ses propos tenus dans son livre publié en 2004
Dans un autre ouvrage, Proche Orient, une guerre mondiale ? je raconte comme j’ai entendu parler pour la première fois de Al Qâeida qui n’avait rien à voir avec cette armée monstrueuse de la propagande états-unienne qui a ensuite été présentée comme une « nébuleuse » terroriste lorsque quelques personnes encore équipées d’un peu d’esprit d’examen ont commencé à douter de la « communication » officielle.On comprend mieux pour quelles raisons les journalistes des médias OMERTAfric ne vont jamis jusqu'au bout des enquêtes... pourquoi Claude Angeli est boycotté...Je découvre AlQâeida
Toutes ces sessions de la conférence islamique donnent lieu à des relevés de décisions comme toutes les réunions destinées à servir à quelque chose. Pour mettre sur pied les ordres du jour, il fallait au début de l’histoire de l’OCI de longues tractations entre les représentants des pays membres. Ces débats avaient lieu à Djeddah, siège du secrétariat de l’OCI, ou dans d’autres villes de pays musulmans. Au prix de longs tâtonnements, les gouvernements échangeaient des informations et des données visant à déterminer l’urgence et l’importance des points à traiter. Or, en même temps qu’ils ont créé l’Organisation de la Conférence islamique, les pays fondateurs ont mis sur pied la Banque islamique de développement. On n’est pas encore à la grande heure de l’Internet, mais les banques ont déjà des moyens de communication performants en mesure de transmettre des fichiers informatiques, et les ordinateurs capables de stocker des informations sous la forme de banques de données accessibles à distance. Il s’agit d’un intranet avec toutes ses fonctionnalités.Pendant mon stage à l’école de guerre de Jordanie, en 1985-86, j’apprends un mot arabe que les officiers ne remplacent pas par son équivalent anglais de data base. Il s’agit du mot Qâeida-t-ulmuetiyât, qui veut dire lui aussi « la base de données ». Comme nous n’avons pas d’ordinateurs à notre disposition, je m’intéresse à cette fascination pour ce mot venant du vocabulaire de l’informatique. Et c’est Shakeel Tarmuzy, notre condisciple pakistanais, qui me « met au parfum ». L’organisation de la conférence islamique a décidé d’utiliser les moyens modernes de la banque islamique de développement pour préparer ses réunions et pour communiquer ses décisions. Si les comptes rendus des réunions sont toujours édités dans différentes langues, il faut de plus amples renseignements aux fonctionnaires des États membres pour « coller » aux lignes directrices de la politique islamique élaborée ensemble. Pour cela, toute une partie des mémoires de la banque islamique de développement a été annexée au profit de la Conférence. On peut y accéder si l’on y est abonné, et alors, sur l’écran de son ordinateur, on peut lire les informations dont on a besoin. Tout est acheminé par un simple réseau téléphonique et les ambassades et les gouvernements des pays membres sont abonnés au système. Ce réseau s’appelle AlQâeida. La base. Et ce mot a de nombreux sens comme en Français. C’est la base militaire, mais c’est aussi la base en chimie, comme la soude, par exemple. Et bien sûr c’est la base de données, en informatique. D’après ce que j’apprends au stage de l’école de guerre, on peut, si l’on est abonné, consulter deux bases : Qâeida-t-ulmaeloumât, la base [de données] d’informations et Qâeida-t-uttaelimât, la base [de données] des instructions, des directives. Les officiers jordaniens font parfois référence à ce système en plaisantant. Par exemple, lorsque quelqu’un arrive un peu en retard au bus, en fin de service, on lui dit : « Attention, tu vas te retrouver dans la base d’informations » sous-entendu, on va te signaler.Quand la plaisanterie se veut plus menaçante, on parle au « délinquant » de la base des instructions ou directives. Là, cela veut dire qu’une décision de sanction va être prise à son encontre. Et si la menace est au plus fort, on ne lui parle pas de Qâeida-tulmuetiyât, la base de données qui réunit les deux, mais simplement d’AlQâeida. C’est plus court. Je dois dire qu’au début du stage, presque personne ne comprenait cette plaisanterie informatique. Les seuls qui en ont saisi dès le début les subtilités étaient les officiers de l’artillerie, de la défense aérienne, des transmissions et de ceux de l’arme du renseignement. Il est bien certain que l’accès à cette base demandait au début de sa mise en place des moyens qui n’étaient pas à la portée du toutvenant, mais que divers groupes – ONG, particuliers, entreprises – ont maintenant les moyens d’acquérir. En 1988, l’Internet existe, mais reste essentiellement réservé aux universitaires, aux scientifiques et, bien sûr, aux militaires états-uniens. Ce n’est pas que ce système de communication soit à l’accès filtré, mais c’est surtout que les systèmes d’accès destinés au grand public n’existent pas encore. C’est pourtant en lisant un relevé de décision de l’OCI tiré d’un message électronique imprimé à l’ambassade du Pakistan à Amman que j’ai vu mon premier @ qui était encore noté . La conférence islamique, qui a pour but de préserver les valeurs traditionnelles de l’islam tout en rejoignant la modernité, s’est donné les moyens techniques les plus avancés pour atteindre ses buts. Jugez de mon étonnement, quand après avoir passé plus de dix ans au contact d’une partie des différentes branches du terrorisme islamique, je découvre que les « cols blancs » de la CIA ou du FBI, ceux qu’on ne voit jamais sur le terrain, nous affirment doctement que le terrorisme islamiste est le fait d’une seule armée de l’ombre, dûment organisée et centralisée, sous le commandement d’un chef emblématique barbu comme un imam de banlieue des années 80, Usama bin Lâdin, et que cette armée s’appelle AlQâeida.
Ce texte explique pourquoi je jubile désormais. Parce qu’après avoir manipulé la peur du bon tévéspectateur avec un fantasme, il faut en créer un autre. Eh oui ! Plus l’ennemi est redoutable plus les gouvernants, qui ne sont en fait plus que des gestionnaires obéissant aux règles de meneurs de la finance, plus les gouvernants, donc, peuvent expliquer leur inaptitude à réduire une poignée de crétins barbus qui traînent en camionnettes japonaises ou coréennes dans des zones désertiques de l’Afrique sahélienne. N’importe quel vrai militaire sait pourquoi. Comme il est très difficile à une armée régulière de s’opposer à une guérilla, il faut être capable de mettre sur le terrain des unités instruites à la contre-guerilla. Or ceci demande beaucoup de moyens humains.
02/10/2014
Claude Angeli: "En revanche, nos amis du Qatar ou d'Arabie Saoudite, qui ont financé les méchants djihadistes, sont, selon Hollande, des partenaires convenables (Canard Enchaîné 1/10/14)
Et quand le site Mondafrique publie des scoops.... il est littéralement boycotté par la presse...LES FRÈRES KOUACHI PASSÉS PAR LA TUNISIE EN 2011
Le ministère de l'Intérieur tunisien a retrouvé, indique-t-on de bonne source, la trace du passage des frères Kouachi à la frontière tunisienne en 2011. Ils rejoignaient alors leur mentor à Tunis, Boubakeur Al-Hakim, aujourd'hui réfugié en Syrie où il se revendique de l'État islamique. À l'époque, les services de police tunisiens largement infiltrés par les islamistes d'Ennahdha n'avaient pas suivi leur piste. On ignore aujourd'hui la durée de leur séjour dans le pays et les activités qu'ils ont menées sur place.
MERCREDI 21 JANVIER 2015
Complot : Amédy Coulibaly n'est pas interpellé (PJ02) 14 jours après que son chef Boubaker Al Hakim ait revendiqué les deux crimes Belaïd-Brahmi en Tunisie, 8 jours avant les crimes à Charlie Hebdo
Revactu
21/1/15
21/1/15
"Les noms des terroristes qui ont assassiné Mohamed Brahmi et avant lui Chokri Belaïd ont été communiqués par le ministre de l’Intérieur lors de sa conférence de presse, tenue aujourd’hui même. Il s’agit de Boubaker el-Hakim, Lotfi Zine, Salman Marrakchi, Marwan Belhadj-Salah, Ezzeddine Abdelwali, Ali Herzi, Ahmed Rouiss, Kamel Ghadghadi et Khlifa Yahyaoui, dont le minisre de l'Intérieur n'a curieusement pas cité le nom, peut-être bien parce qu'il est en rapport avec Walid Bannani !" (Explosif : Toute la vérité sur l’assassinat de Mohamed Brahmi et sur le terroriste Boubaker el-Hakim 27 Juillet 2013)
" la Tunisie étant devenue pour lui et ses semblables la nouvelle terre du djihad. C’est dans ce pays livré aux islamistes et devenu terre promise de l’Internationale terroriste que Cherif Kouachi, suivi par son frère Saïd, s’est installé durant près de deux mois. Après avoir suivi un stage de "perfectionnement" dans le maniement des armes, ces deux sinistres criminels ont probablement suivi Boubaker al-Hakim dans sa fuite en Libye. Ce dernier reparti en Syrie via les frontières turques, les frères Kouachi ont dû regagner la France il y a trois ou quatre mois parce qu’ils avaient une mission à accomplir"." (Tunisie Secret infra)
8 janvier (lendemain des crimes à Charlie Hebdo) "le responsable sécuritaire,
Abdelkarim Laâbidi. Anciennement en poste à l’aéroport de Tunis-Carthage, Abdelkarim Laâbidi est accusé d’être complice avec une police parallèle et d’avoir fourni son véhicule aux terroristes responsables de l’assassinat de Mohamed Brahmi.(infra)
Abdelkarim Laâbidi. Anciennement en poste à l’aéroport de Tunis-Carthage, Abdelkarim Laâbidi est accusé d’être complice avec une police parallèle et d’avoir fourni son véhicule aux terroristes responsables de l’assassinat de Mohamed Brahmi.(infra)